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Dans deux jours s’ouvre le Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean. À cette occasion, vous aurez la chance de faire dédicacer Borealium tremens par Mathieu Villeneuve, dont on entend beaucoup parler.
Où ? Au kiosque 22.
Quand ? Jeudi et vendredi de 19h à 21h, samedi de 12h à 14h et dimanche de 14h à 16h.
Vous aurez également l’occasion de rencontrer Mathieu Villeneuve et de l’écouter lire un extrait de son premier roman, Borealium tremens, lors de la soirée littéraire gourmande.
Et dimanche 1er octobre, Marie-Danielle Roy recevra Mathieu Villeneuve et Mylène Bouchard sur la scène « Promotion Saguenay » de 13h à 13h30.
Vous voulez en savoir plus ? Voici les derniers échos de Borealium tremens (Éditions La peuplade) dans les médias :
22.09-2017 Châtelaine : « Histoire de fantôme, de maisons hantées, mais aussi de rangs désertés : l’ambiance du premier roman de Mathieu Villeneuve, né à Chicoutimi en 1990, nous reste à l’esprit plusieurs jours après sa lecture. » [Annabelle Moreau — « Les 19 titres québécois à lire cet automne »]
20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]
18.09.17 Info-Culture : « La plume de Mathieu Villeneuve est riche et poétique, voire même parfois lyrique. Ses multiples descriptions de paysages, de vie rurale, sont des plus détaillées, colorées et imagées. On a l’impression de voir défiler sous nos yeux en 3D les images qu’il nous décrit sur plusieurs pages. (…) Avec ce roman, on découvre le Saguenay comme on ne l’a jamais vu et dans le plus fin détail. On en apprend beaucoup autant sur l’histoire de cette région, comme le déluge de 1996, que des dommages causés par les déversements de l’Alcan, ou encore sur les tiques qui rendent fous les orignaux. (…) Ce livre saura plaire aux amateurs de légendes, d’histoires fantaisistes qui s’enracinent dans la réelle histoire d’une région, ou encore aux amants de textes riches et finement bien écrits. » [Shirley Noël — « Le roman Borealium tremens de Mathieu Villeneuve, un roman aux allures de légende, où hallucinations et héritage familial s’entremêlent dans ce troublant retour à la terre. »]
16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]
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