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Agence Littéraire Laëns

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Agence Littéraire Laëns

Archives mensuelles : mars 2018

Mathieu Villeneuve décroche le prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018 !

29 jeudi Mar 2018

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Mathieu Villeneuve lauréat du prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018

Mathieu Villeneuve à la Maison de la Littérature à Québec (Cr. Photo: Mylène Bouchard)

C’est avec son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade, que Mathieu Villeneuve a remporté ce matin le prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018 pour « la qualité de l’intrigue », « la richesse de l’écriture » et « l’importance accordée à l’intertextualité. » « Comme la batterie de personnages quelque peu hétéroclites qui occupent le territoire du roman, l’écriture, très contemporaine, a charmé les membres du jury, une écriture riche, envoûtante, puissante, d’une belle qualité, qui laisse beaucoup de place à la poésie, aux envolées descriptives du territoire, devenu mythique sous la plume du romancier, et des paysages, une écriture qui ne laisse pas les lecteurs indifférents. »

Un premier prix pour ce roman salué par la critique. Le jury de sélection était composé de M. Aurélien Boivin, professeur émérite de l’Université Laval et président du jury, M. Pierre Blais, journaliste/blogueur, Mme Isabelle Duval, auteure, M. Jean Dumont, libraire et M. Jean-Philippe Marcoux-Fortier, bibliothécaire coordonnateur de la Maison de la littérature. Le dévoilement du prix se déroulait à la Maison de la littérature, à Québec.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens dans les médias :

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence.
Que cherche et que trouvera David, jeune homme de 28 ans en retournant sur la terre de ses ancêtres afin de reconstruire la Maison Brûlée dont il vient d’hériter ? Quel sens donner à ce chantier titanesque, quel sens donner à la terre ? David, dont les parents sont morts durant Le grand déluge de 1996, cherche ici à conjurer le mal et à tenir ses racines. Mais la folie guette, odieuse et survoltée. Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

29.01.2018      Impressions sur livres : « Passé et présent font bon ménage dans la langue de Mathieu Villeneuve. Excellent conteur, fin observateur, sa description des lieux et de toute la région vaut n’importe quelle brochure socio-touristique du coin. On ressent facilement les vents de canicule et ceux d’hiver, les odeurs de terre et d’humidité, la poussière, les sons des oiseaux et de la scierie voisine, tellement qu’on en redemande. (…) Magnifiquement écrit, ce livre contient plusieurs belles idées qui donnent ses lettres de noblesse au Nord inhospitalier où il se déroule. » [Alain, « Borealium tremens, par Mathieu Villeneuve »]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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Nicolas Paquin de retour au Salon du livre de Trois-Rivières

20 mardi Mar 2018

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Nicolas Paquin, récipiendaire du prix CALQ-Chaudière-Appalaches dans la catégorie « œuvre de l’année » pour Combattre dans l’ombre, sera en dédicace au Salon du livre de Trois-Rivières samedi 24 mars de 17h à 21h et dimanche 25 mars de 11h à 14h pour son dernier roman, Après-bal, publié aux Éditions du Phoenix. Où ? Au kiosque 018-019.

Nicolas centré

Nicolas Paquin (Cr. Photo : Nathalie Paradis)

L’auteur :

Originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu, Nicolas Paquin a déjà 9 livres à son actif. En 2010, Il remporte le concours Un Pont, une légende[1] avec « Mathias et Félicité » et publie deux romans[2]. De 2010 à 2013, il signe une chronique hebdomadaire dans Le Canada Français et en 2011, on le sollicite pour écrire Haut-Richelieu Atours & Alentours[3]. Il reçoit l’année suivante une bourse du Conseil des Arts des Lettres du Québec pour le recueil de légendes urbaines, Ce qu’il ne faut pas dire[4].

En 2013, Nicolas Paquin publie un suspense ados/adultes, Piégés, aux Éditions du Phoenix[5]. De 2014 à 2016, il plonge dans le roman d’aventures historique, fort de sa rencontre avec des vétérans de la Seconde Guerre mondiale. Il leur rend hommage dans sa trilogie Les Volontaires[6], pour laquelle il bénéficie d’une bourse du Conseil des Arts du Canada. En 2017, Combattre dans l’ombre reçoit le prix CALQ-Chaudière-Appalaches dans la catégorie « œuvre de l’année. » Invité à titre de conférencier par la Maison du Québec à Saint-Malo, Nicolas Paquin présente ses œuvres à Dieppe, Coutances et Courseulles-sur-Mer. À l’automne, on lui décerne le prix Philippe-Aubert-de-Gaspé pour sa trilogie Les volontaires et sa contribution à la littérature et à l’histoire du Québec.

En octobre 2017, Nicolas Paquin renoue avec le policier pour Après-bal[7].

 

-PHOENIX-Ado-ApreCs_bal-150dpiRésumé :

La fin des études secondaires ! Auréolés d’une gloire parfois douteuse, une dizaine d’étudiants se sont distingués cette année. Lorsqu’un camarade les convie à un après-bal exclusif dans un vieux manoir tapi au fond de la campagne, l’enthousiasme est général. Mais si les liqueurs et la nourriture leur apparaissent incomparables, à mesure que la soirée avance, les incidents se succèdent : invités indésirables, menaces, agressions, vol, et même une tentative d’empoisonnement! Simple malchance? Ces drames, qu’on serait tenté de balayer sous le tapis, préludent-ils d’un événement plus grave encore?

Dans ce huis clos haletant se révèlent les tromperies, les médisances et la haine cultivées pendant cinq ans. Lorsqu’une petite société hypocrite voit ses assises se fissurer, le danger guette…

Vous voulez en savoir plus ? Visitez le site Internet de Nicolas Paquin, suivez le sur Facebook et Instagram !

[1] organisé par Parcs Canada

[2] Abel Bates : de vice ou de mort – roman policier, Montréal, Éd. Popfiction, Coll. rocambolesque, 2010, ISBN : 978-2-923753-09-6

Et Abel Bates : banlieue blanche – roman policier, Montréal, Éd. Popfiction, Coll. rocambolesque, 2010, ISBN : 978-2-923753-16-4

[3] Avec des photographies de Simon Lachapelle, Saint-Constant, Broquet, 2012, ISBN : 9782896543663

[4] Avec des photographies de Simon Lachapelle, Saint-Jean-sur-Richelieu, Nicolas Paquin, 2013, ISBN : 9782981075611 diffusé en 2013 au profit de la Fondation du Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu

[5] Piégés – roman pour adolescent, Montréal, Éd. du Phœnix, 2013, ISBN : 9782923425993

[6] Sous le feu de l’ennemi, Les volontaires t.1, Montréal, Éd. du Phœnix, 2014, ISBN : 9782924253236

Combattre dans l’ombre, Les volontaires t.2, Montréal, Éd. du Phœnix, 2015, ISBN : 9782924253441

Théâtre de guerre, Les volontaires t.3, Montréal, Éd. du Phœnix, 2016, ISBN : 9782924253762

[7] Montréal, Éd. du Phœnix, 2017, ISBN : 9782924833018

 

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Un pirate de l’espace aborde le Salon du livre de Trois-Rivières

19 lundi Mar 2018

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Rencontrez Patrick Loranger au Salon du livre de Trois-Rivières. Où ? Au kiosque 041 de Joey Cornu. Quand ? Jeudi 22 mars de 9h30 à 11h30, vendredi 23 de 9h30 à 11h30, samedi 24 de 10h à 11h30 et de 12h30 à 14h et dimanche 25 mars de 13h à 15h.

patloranger

Cr. Photo : Richard Blouin

Doté d’une imagination fertile, Patrick Loranger est l’auteur de la série à succès L’Ordre des Ornyx (Soulières Éditeur). Avec « L’Odyssée de Kisha Zycks », il plonge les amateurs de science-fiction au cœur d’une saga de piraterie spatiale, entre la galaxie de Dakjad et celle d’Ankbentid. Patrick Loranger partage sa vie entre ses métiers de technicien en électricité industrielle et d’écrivain, et son rôle d’administrateur auprès de la Société des écrivains de la Mauricie. Il anime aussi des ateliers d’écriture, donne des conférences et offre des animations en bibliothèques. Son but : propager le plaisir de la lecture auprès des jeunes.

couvert démo

Le secret de Décalypse (L’odyssée de Kisha Zycks, tome 4) : Depuis des semaines, le pirate Kisha Zycks lutte seul contre la Police de l’espace, les services secrets et la mafia stonk, pour laquelle il a volé les données du projet Décalypse. Heureusement, il croise la route de Johnny Stanlest, un pilote casse-cou qui l’aide à fuir dans son vieux vaisseau bricolé. Pour sortir de l’impasse, il lui reste peut-être un allié en la personne de Rick, le tueur à gages des Bloodsuckers. Mais peut-il lui faire confiance ?

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couverture 30 avril 2015

Enquête sur l’affaire Décalypse (L’odyssée de Kisha Zycks, tome 3) : Le chef des Bloodsuckers lance son meilleur tueur à gages, Rick, à la poursuite du voleur des données du projet Décalypse. Sa mission : le ramener vivant. Comment être le premier à épingler le mystérieux Rhodopithèque, quand les chasseurs de primes et la mafia de deux galaxies sont déjà sur l’affaire ? C’est aussi la question que se pose le commandant Mac Leod, de l’Agence de sécurité et d’investigation ; car le pirate semble insaisissable. Mais quelle est donc la nature des données volées pour mériter un tel déploiement de forces dans l’Univers ?

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final 3mars14L’affaire Décalypse (L’odyssée de Kisha Zycks, tome 2) : Wolfang Cheqnau, le parrain de la mafia stonk, propose à Kisha Zycks de dérober les données du Projet Décalypse pour cinq millions de crédits. Quelle aubaine pour le jeune mercenaire, qui rêve de se retirer de la piraterie et de vivre enfin avec sa famille ! Sans ami fiable et dorénavant sans l’appui du grand Sakomar, le Rhodopithèque se lance dans l’aventure. Quand la police de l’espace et des chasseurs de prime s’en mêlent, Kisha commence à douter. Cheqnau est-il loyal ? Et si sa famille, restée sur Polaris, courait un grave danger, par sa faute ? Entre enjeux militaires et identités clandestines, Patrick Loranger nous entraîne dans une course-poursuite au rythme effréné.

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couverture finale 20 mars 2013La guilde de Sakomar (L’odyssée de Kisha Zycks, tome 1) : Un vaisseau de l’Empire tombe en panne avec à son bord, toute une cargaison de munitions. Sakomar, le contrebandier qui règne sur une vaste région galactique, envoie son meilleur mercenaire, le jeune Kisha Zycks. Sa mission consiste à dérober le butin avant l’arrivée du remorqueur. Et le temps presse ! Quand un autre gang apparaît, Kisha n’a pas d’autre choix que négocier. Oui, mais transiger avec des bandits est une aventure risquée. Surtout quand il s’agit d’un piège…

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Quelques échos dans les médias :

« Patrick Loranger promet à ses lecteurs un dépaysement total en compagnie des mercenaires de l’espace, leur proposant rien de moins qu’une guerre de gangs dans les univers qu’il nous décrits. (…) On se retrouve ici dans un univers où les occupants parlent le stonk-bérumien international et où la technologie spatiale permet l’exploration et le commerce. L’auteur de Shawinigan y a trouvé un terrain de jeu pour tisser une trame axée sur l’action, tout en abordant les thèmes de la loyauté et des préjugés. »

                                                             — Linda Corbo, Le Nouvelliste

« Je lève mon chapeau à l’auteur pour avoir créé des personnages aussi hors du commun et originaux, mais tellement détaillés qu’on arrive facilement à [se] les représenter.

                                                           — Anne-Marie Lobbe, Le Journal de Montréal

« D’évidentes qualités d’écriture et des airs de scénario de film. »

                                                          — Suzanne Teasdale, Lurelu

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Mathieu Villeneuve à Livre Paris

15 jeudi Mar 2018

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Mathieu Villeneuve

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Mathieu Villeneuve, finaliste du Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018  fait partie des 40 auteurs québécois présents au Salon du livre de Paris du 16 au 18 mars. Il vous y dédicacera son premier roman, Borealium tremens, publié chez La Peuplade.

Où ? À l’emplacement E 45 de Québec Édition.

Quand ? Vendredi 16 mars de 17h à 18h, samedi 17 mars de 18h à 19h et dimanche 18 mars de 16h à 17h.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens dans les médias :

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence.
Que cherche et que trouvera David, jeune homme de 28 ans en retournant sur la terre de ses ancêtres afin de reconstruire la Maison Brûlée dont il vient d’hériter ? Quel sens donner à ce chantier titanesque, quel sens donner à la terre ? David, dont les parents sont morts durant Le grand déluge de 1996, cherche ici à conjurer le mal et à tenir ses racines. Mais la folie guette, odieuse et survoltée. Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

29.01.2018      Impressions sur livres : « Passé et présent font bon ménage dans la langue de Mathieu Villeneuve. Excellent conteur, fin observateur, sa description des lieux et de toute la région vaut n’importe quelle brochure socio-touristique du coin. On ressent facilement les vents de canicule et ceux d’hiver, les odeurs de terre et d’humidité, la poussière, les sons des oiseaux et de la scierie voisine, tellement qu’on en redemande. (…) Magnifiquement écrit, ce livre contient plusieurs belles idées qui donnent ses lettres de noblesse au Nord inhospitalier où il se déroule. » [Alain, « Borealium tremens, par Mathieu Villeneuve »]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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