• Actualités
  • On en parle
  • Conseils
    • Devenir écrivain
    • Auteur publié
    • Deuxième roman
  • Services
  • Emploi
  • Rencontres d’auteurs
  • Agenda
  • Contact

Agence Littéraire Laëns

~ Blogue

Agence Littéraire Laëns

Archives de mot-clé : agence littéraire

Kili$ arrive en librairie

24 mercredi Nov 2021

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, coaching d'écriture, correction de manuscrits, correction de manuscrits Québec, direction littéraire, GRC, Kili$, Memoriam, Michel Picard, Presses universitaires d'Ottawa, promotion du livre, réfugiés, REFC, thriller

C’est aujourd’hui que sort en librairie le second roman de Michel Picard, Kili$, un thriller sur fond de trafic d’armes, de réfugiés confiés aux bons soins d’une compagnie pharmaceutique et de terrorisme international.

 

Le roman :

Tchétchène d’origine russe et ancien trafiquant d’armes repenti, Ivan Gouchenko est abattu à son domicile. Le meurtre de ce PDG d’une division turque de la société Apobiotech Pharma, une transaction de 40 millions de dollars, des allégations de blanchiment de fonds et le vol d’un virus prennent une dimension internationale.

Pour percer le mystère, Fisher, directeur des opérations canadiennes chez Neuro-Alpha, demande au docteur Derren d’accéder à la mémoire d’un homme : Jalel Al-Hariz, un des terroristes les plus recherchés. Une mission de routine pour un analyste aux renseignements criminels. Une mission des plus palpitantes pour un neurologue.

Sauf que la belle-fille du trafiquant repenti se trouve au cœur de l’affaire. Et que l’ancienne flamme de Fisher est à son tour accusée de fraude.

Après Memoriam, on retrouve avec bonheur le tandem Fisher-Derren qui n’a de cesse de dénouer cet imbroglio de Kilis à Montréal, de la détresse d’un camp de réfugiés au laboratoire aseptisé de Bio Pharma. Et cela, quitte à défricher les mémoires les plus violentes, quitte à voler des souvenirs par effraction.

L’auteur :

         Titulaire d’un doctorat en sciences politiques, Michel Picard rejoint la Gendarmerie royale du Canada, à titre d’analyste aux renseignements criminels. Il a notamment participé à l’enquête du dossier Norbourg, créé et dirigé le programme de lutte contre la criminalité financière de l’Université de Sherbrooke.

Reconnu pour son expertise en matière de fraude, il donne des conférences tant au Canada qu’au Royaume-Uni, enseigne auprès de différents services de police au Canada et au Maroc et collabore régulièrement avec plusieurs chaînes télévisées (dont LCN, TVA et RDI).

En 2011, il publie aux Éditions Logiques son premier essai, Faites-moi confiance, autopsie des crimes financiers et son second en 2015, La Commission Charbonneau, les aveux d’un système corrompu, cette fois chez Stanké.

Si l’écriture d’ouvrages qu’il qualifie de techniques semblent aller de soi pour Michel Picard, c’est la fiction et les défis qu’elle comporte qui l’attirent. En 2020, son premier roman, Memoriam, paraît aux Presses de l’Université d’Ottawa. Il met en scène Philippe, un jeune neurologue qui consacre sa carrière à la maladie d’Alzheimer et souhaite disculper son père soupçonné de terrorisme. Michel met son expérience en analyse des renseignements criminels et son vécu au service de ses personnages.

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2021

 

L’affaire du collège indien, de Sylvie Brien au bûcher!

07 mardi Sep 2021

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

98.5 fm, agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, autodafé, Bayard Canada Livres, Carole Tremblay, cause autochtone, censure, coaching d'écriture, Conseil scolaire catholique Providence, correction de manuscrits, correction de manuscrits Québec, direction littéraire, Gallimard Jeunesse, Grands prix Desjardins de la culture Lanaudière, L'affaire du collège indien, La voie de Zahra, Le Devoir, Montréal capitale mondiale du livre de l’Unesco, Paul Arcand, prix littéraire Bernadette-Renaud, Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL, Prix Paul-Hurtmans, Prix Peuplier, Radio-Canada, Saint-Maur en poche, Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue, Salon du livre de Paris, Spirit Lake, Sylvie Brien, Thomas Gerbet, Vipérine Maltais, woke

Sylvie Brien a appris récemment avec stupeur que son roman pour enfants, L’affaire du collège indien, publié chez Gallimard a été non seulement retiré des bibliothèques d’une trentaine d’écoles francophones du Conseil scolaire catholique Providence en Ontario, mais aurait été aussi mis au bûcher!

affaireLa romancière ne pouvait qu’exprimer sa stupéfaction et son indignation, alors que dans L’affaire du collège indien paru en 2006 chez Gallimard-Jeunesse, elle dénonce le sort réservé aux Autochtones dans les pensionnats et le racisme de la société des années 20 envers eux.

Certes, on note que le sort réservé à l’ouvrage de Sylvie Brien s’inscrit dans un contexte particulier : « Une grande épuration littéraire a eu lieu dans les bibliothèques du Conseil scolaire catholique Providence, qui regroupe 30 écoles francophones dans tout le Sud-Ouest de l’Ontario. Près de 5000 livres jeunesse parlant des Autochtones ont été détruits dans un but de réconciliation avec les Premières Nations. (…) Le conseil scolaire ne spécifie pas la raison du retrait. [L’affaire du collège indien est] une histoire qui se déroule en 1920 avec des personnages et des lieux fictifs. Dans l’histoire, une adolescente défend un Autochtone accusé à tort d’un incendie. L’auteure rejette tout préjugé : « Au contraire, j’ai dénoncé des choses qu’on ne disait pas ». Elle affirme être une des premières auteur.e.s jeunesse à avoir abordé « les horreurs des pensionnats » en se basant sur des documents d’époque. Bibliothèques et archives Canada (Nouvelle fenêtre) a déjà écrit à propos de ce livre que « Sylvie Brien [y] aborde avec justesse le sujet des pensionnats où les jeunes autochtones, arrachés à leur famille, étaient éduqués loin de leurs parents et de leurs traditions ».» (Thomas Gerbet,Radio-Canada)
Ce matin, au micro du 98.5 fm, Paul Arcand en bafouillait. Car ce roman étudié dans de nombreuses écoles est accompagné d’une fiche pédagogique, a bénéficié de recherches historiques solides et défend les Autochtones. Pour le journaliste, il s’agirait d’un problème de sortie du contexte. Écoutez l’émission ici.

Et RTL se faisait également l’écho de ce scandale en France.

Cet acte de la part de la commission scolaire semble d’autant plus injustifiable que Sylvie Brien dénonce de nombreux abus et injustices perpétrés sur des enfants dans plusieurs de ses romans : L’affaire du collège indien, mais aussi La voie de Zahra (Bayard Canada), Spirit Lake (Gallimard-Jeunesse) en sont quelques exemples.

On peut et on doit repenser notamment la manière dont est enseignée l’histoire autochtone, voire son contenu. Mais brûler, censurer des œuvres qui sont autant d’alliées de la cause autochtone?

Ce que les médias ont dit de L’affaire du collège indien:

17.05.2009      À Voix haute Vol. 2 N°8      « Le style alerte et teinté d’humour de Sylvie Brien enchante. Elle sait glisser à petites doses des éléments de mystère et des notions d’histoire (dans ce cas, la scolarisation forcée de milliers de jeunes Amérindiens enfermés dans des pensionnats très loin de leurs familles) tout en multipliant les sous-intrigues capables de faire progresser l’enquête. » [Claude Daigneault, « Vipérine Maltais, une héroïne pour tous au cœur d’une tragédie de notre histoire »]

05.04.06          La voix du Luxembourg      « Sylvie Brien sait ménager le suspense et attirer notre attention en situant l’action dans un collège canadien qui sert de banc d’essai pour instruire de jeunes Indiens arrachés à leurs parents sous prétexte de les civiliser chez les Blancs… Vipérine, toujours aussi vive et maline, nous entraîne sur ses pas et l’épilogue, bien construit, comme le reste du roman, nous satisfait pleinement. » [C. de Jamblinne]

24.03.2006      Tribune Bulletin – Côte d’Azur     « **** Première satisfaction, le roman est écrit dans un français parfait, bien que simple. Et non dans les approximations branchées fleurissant dans la littérature pour jeune public au prétexte de modernité. (…) Humour, mystère, suspense et forte identité constituent les ingrédients d’une série bien construite. » [Liliane Tibéri]

Mars 2006      Le Messager « Une intrigue à la Agatha Christie dans une atmosphère pleine de charme. »

10.03.06          Chroniques de l’imaginaire            « Le thème de fond, les enfants indiens arrachés à leurs familles pour être placés dans des pensionnats, constitue une bonne trame de départ, qui a été exploitée d’une manière subtile et pédagogique. » [Toonnette, « L’affaire du collège indien »]

2006    Bibliomanes   « Un policier bien ficelé, campé dans le cadre original du Québec des années 1920, dont on découvre avec horreur un épisode peu glorieux: la scolarisation forcée, et dans des conditions déplorables, qu’ont subie de jeunes Amérindiens et ce, jusqu’en 1980. Des peintures ajoutent à l’atmosphère oppressante se dégageant de ce roman mené tambour battant dans lequel on retrouve avec plaisir une héroïne brillante et à la langue bien pendue qui nous réserve une fin théâtrale digne d’Agatha Christie. » [Caroline Ricard]

2006    Ricochet         « Après Mortels Noëls, la petite détective Vipérine revient plus en forme que jamais ! Toujours aussi futée, elle est plus sûre d’elle, de sa position au pensionnat et dans sa famille (elle est orpheline de mère). C’est elle la narratrice, et elle maîtrise le récit : le lecteur ne saura rien de ses déductions au cours de l’enquête ; ses observations nous sont livrées comme des faits. Vipérine garde les réponses pour la fin digne du meilleur Agatha Christie : sur une scène de théâtre, devant des adultes spectateurs ébahis, la jeune fille fait un exposé logique et clair du déroulement du drame. L’époque du début du siècle au Canada est toujours aussi bien mise en scène, avec une dénonciation d’un épisode peu glorieux : la scolarisation de force des enfants indiens dans des conditions déplorables, et ce jusque dans les années 1980. Ce deuxième opus, toujours d’excellente qualité, séduira sûrement les amateurs de Sherlock Holmes et autres Rouletabille ! » [Sophie Pilaire, « L’affaire du collège indien »]

13.05.06          Le Devoir       « S’ils rafraîchissent la mémoire, les ouvrages pour la jeunesse de Sylvie Brien sont loin d’être des romans à thèse lourds et ennuyeux. Il s’agit de véritables petits polars, construits dans les règles de l’art, ponctués de nombreuses pointes d’humour. De plus, si les faits historiques stimulent l’écrivaine, les phénomènes inexpliqués la fascinent tout autant. Il y a donc toujours un fantôme qui rôde, un esprit qui veille ou une apparition mystérieuse dans la trame de ses romans. » [Carole Tremblay, « Littérature jeunesse : le Québec des années 20 continue sa percée à Paris »]

18.06.06          Déjà Grand    « ****1/2 Cet ouvrage ravira les esprits avides de suspense, car l’auteur parvient à l’attiser jusqu’au dénouement qui selon les règles de l’art est surprenant et inattendu. Une écriture fine et précise qui fait plonger le lecteur dès les premières lignes dans ce Québec de 1921 sans jamais l’ennuyer. Rien n’y est superflu et surtout le livre révèle un pan cruel et scandaleux de l’histoire du Canada. Une réussite ! »

Sylvie Brien, auteure

Sylvie Brien Cr. Photo : Jean-François O’Kane

La romancière : Sylvie Brien publie en France et au Canada (24 romans), écrit de la littérature adulte et du jeunesse, tantôt avec un narrateur masculin, tantôt avec un narrateur féminin, se passionne autant pour l’histoire que pour l’archéologie, veille à ce que ses personnages soient attachants et donne de nombreuses conférences.

Ses livres rencontrent un large public, lui permettent d’être invitée au Salon du livre de Paris, à la semaine Paul-Hurtmans du Centre de Littérature de Bruxelles, au Salon international du livre de poche « Saint-Maur en poche », d’être présidente d’honneur du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue en 2009 et de la Quinzaine du livre de Lanaudière en 2010, et valent à Sylvie Brien la reconnaissance de ses pairs : lauréate du Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL dans la catégorie « roman 13 ans et plus » avec 16 ans et patriote et membre du jury du prix littéraire Bernadette-Renaud en 2018, elle a été, entre autres, finaliste au Prix Paul-Hurtmans en 2010, lauréate des Grands prix Desjardins de la culture Lanaudière 2010 et finaliste au Prix Peuplier en 2017. La Fenêtre maléfique a été sélectionné pour l’événement « Montréal capitale mondiale du livre de l’Unesco. » Ses romans font régulièrement partie des sélections des libraires sur France Info.

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2021

Gabriel Osson lance Tambours et assons

10 mardi Août 2021

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités

≈ 1 commentaire

Mots-clés

AAOF, agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, Éditions David, Éditions Terre d'accueil, coaching d'écriture, correction de manuscrits, correction de manuscrits Québec, D'ici et d'ailleurs, direction littéraire, Gabriel Osson, Hubert le restavèk, Le jour se lèvera, poésie, poésie vivante, Prix Alain-Thomas, prix Christine-Dumitriu-van-Saanen, promotion du livre, Radio-Canada, Tambours et assons, Vaudou

Gabriel Osson lance aujourd’hui son premier extrait «Tambours et assons» de l’album D’ici et d’ailleurs disponible en octobre 2021.

Le projet : Gabriel offre une performance poétique des textes qu’il a écrits pour son prochain recueil D’ici et d’ailleurs, à paraître en octobre 2021 aux Éditions Terre d’accueil. Il interprète ses poèmes adaptés pour la scène sur la musique de Dieufaite Charles.

Identité : Entre Haïti et Toronto, ce sont les couleurs de Gabriel qui se déclinent comme autant d’instantanés de ses deux pays. Entre amour et nostalgie, bonheur et consternation, Gabriel Osson nous invite à le suivre dans un parcours célébrant les origines, la transmission de la mémoire et les perspectives d’avenir.

Tambours et assons : Ce texte est un appel à se réunir, à œuvrer pour le développement du pays et à conquérir sa liberté. Les tambours et assons sont des instruments de musique traditionnelle également utilisés dans le Vaudou.

Gabriel Osson, Agence littéraire Laëns

Gabriel Osson (Cr. Ph. : Christine Bérubé)

L’artiste : Romancier finaliste au prix Christine-Dimitriu-van-Saanen en 2017, lauréat du prix Alain-Thomas 2021 et artiste peintre franco-ontarien, Gabriel Osson est né à Port-au-Prince en Haïti. Auteur des romans Hubert, le restavèk et Le jour se lèvera, tous deux publiés aux Éditions David, il est également président de l’Association des auteurs et auteures de l’Ontario français (AAOF) depuis 2018. Il anime l’émission hebdomadaire « Franco Découvertes » à la radio de Toronto, CHOQ FM 105.1. En 2019, Radio Canada dresse son portrait dans une série d’articles consacrée aux 25 personnalités noires franco-ontariennes les plus influentes.

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2021

Le salon du livre de Hearst accueille Gabriel Osson

08 mercredi Mai 2019

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

AAOF, accompagnement littéraire, agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire Québec, André Charlebois, Andrée Lacelle, Angèle Bassolé, Antoine Côté Legault, Éditions David, Éditions Prise de Parole, Éric Charlebois, à quoi sert un agent littéraire, Blaise Ndala, Brigitte Haentjens, Catherine Parayre, Chloé LaDuchesse, Clara Lagacé, coaching d'écriture, Daniel Groleau-Landry, David Ménard, Elsie Suréna, François B. Pelletier, Frédérique Champagne, Gabriel Osson, Gilles Lacombe, Gilles Latour, Hédi Bouraoui, Hélène Koscielniak, Hubert le restavèk, Jean Boisjoli, Jean Marc Dalpé, Joséphine Bacon, Lélia Young, Louis Patrick Leroux, Margaret Michèle Cook, Michel Ouellette, Michel Thérien, Michelle Deshaies, Nicole V. Champeau, Paul Ruban, Paul Savoie, Pierre Raphaël Pelletier, Pierrot Ross-Tremblay, Poèmes de la résistance, prix Christine-Dumitriu-van-Saanen, salon du livre de Hearst, Sonia-Sophie Courdeau, Stefan Psenak, Sylvie Bérard, Thierry Dimanche, Tina Charlebois, Véronique Sylvain

Le salon du livre de Hearst accueille petits et grands du 9 au 11 mai pour sa dixième édition sous la présidence d’honneur de Jean-Marc Dalpé. À cette occasion, Gabriel Osson, auteur de Hubert, Le restavèk, publié aux Éditions David, rencontrera ses lecteurs lors de séances de signature.

Kiosque du RECF :
Jeudi 9 mai: 12h à 13h, 14h à 15h et 19h à 20h
Vendredi 10 mai: 13h à 14h, 15h à 16h et 18h à 19h
Samedi 11 mai: 10h à 11h et 12h à 13h

Kiosque de l’AAOF :

Jeudi 9 mai : 9h à 12h, 13h à 14h, 17h à 19h et  20h à 21h
Vendredi 10 mai : 9h à 13h, 14h à 15h, 16h à 17h, 19h à 21h
Samedi 11 mai : 9h à 10h, 11h  à 12h, 13h à 17h

Le 9 mai dès 21h, Gabriel Osson participera à la soirée « Le Nord revisité en lecture » au Pub Notre-Place de l’Université de Hearst aux côtés de : Joséphine Bacon, Antoine Côté-Legault, Jean-Marc Dalpé, Michelle Deshaies, Hélène Koscielniak et Chloé LaDuchesse.

Mais tout d’abord, après la cérémonie d’ouverture du salon, assistez à 16h45 au lancement du recueil POÈMES DE LA RÉSISTANCE (Éditions Prise de parole), réunissant les textes de 37 auteurs franco-ontariens, dont Gabriel Osson, en réponse aux compressions du gouvernement Ford dans les services en français. Gabriel sera à 7h20 au micro de « Y a pas deux matins pareils » sur les ondes d’Ici Radio-Canada Première pour en parler.

Mot de l’éditeur :

« Le poème, c’est l’acte d’être au monde à part entière, au plus intime de notre vie comme au sein de notre collectivité. Consciemment ou inconsciemment, le destin personnel participe du destin collectif. Ce sont des espaces inséparables. Toute poésie est résistance et maîtresse des lieux, car elle occupe la langue et le langage. Parole surgie de la mémoire et de tant d’inconnu, sa pensée part du cœur. Lucide, le poème cherche à dire l’histoire de nos histoires. »
– Andrée Lacelle, Dire la lumière de notre colère, préface

« Résister », « résistant », « résistante », « résistance » : c’est autour de ces mots nécessaires hier et aujourd’hui que trente-sept poètes de tous les horizons culturels de l’Ontario français créent un recueil qui ne cédera ni à la menace ni au temps.

Cet acte de création s’inscrit dans un mouvement de mobilisation artistique et citoyen face aux attaques du gouvernement Ford à l’encontre de la collectivité franco­-ontarienne. Les poètes, par leurs vers, tiennent tête à l’autorité. Animés d’un sentiment vivace, et à l’instar des matériaux les plus nobles, ils résistent au temps, aux causes de la dissolution et aux limitations de leurs libertés.

Avec les textes de : Angèle Bassolé, Sylvie Bérard, Jean Boisjoli, Hédi Bouraoui, Frédérique Champagne, Nicole V. Champeau, André Charlebois, Éric Charlebois, Tina Charlebois, Margaret Michèle Cook, Antoine Côté Legault, Sonia-Sophie Courdeau, Jean Marc Dalpé, Thierry Dimanche, Daniel Groleau Landry, Brigitte Haentjens, Andrée Lacelle, Gilles Lacombe, Chloé LaDuchesse, Clara Lagacé, Gilles Latour, Louis Patrick Leroux, David Ménard, Blaise Ndala, Gabriel Osson, Michel Ouellette, Catherine Parayre, François B. Pelletier, Pierre Raphaël Pelletier, Stefan Psenak, Pierrot Ross-Tremblay, Paul Ruban, Paul Savoie, Elsie Suréna, Véronique Sylvain, Michel Thérien et Lélia Young.

Gabriel Osson, Agence littéraire Laëns

Gabriel Osson (Cr. Ph. : Christine Bérubé)

À propos de l’auteur :            Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, il anime l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures se retrouvent dans des collections privées au Canada, en France et aux États-Unis. Gabriel Osson siège aussi au conseil d’administration de Trees That Feed, un organisme voué à la plantation d’arbres fruitiers dans les Caraïbes et certains pays d’Afrique. Depuis le 9 juin dernier, il est aussi président de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario français (l’AAOF).

Agence littéraire LaënsGabriel Osson, Hubert le restavèk

Après deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017 et l’amène à parcourir l’Ontario, le fait inviter au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…

Extrait

Quelques échos dans les médias :

22.06.2017      Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]

06.05.2017      Bookivores     « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]

30.04.2017      Les chroniques de Passy      « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]

17.04.2017     Les mille et une pages de LM     « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]

11.04.2017      L’express     « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2019

Julie Stanton à « Pour un monde sans murs »

26 mardi Fév 2019

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, Alix Renaud, Éditions Les Heures Bleues, François Veilleux, Hugues Corriveau, Javier Vargas de Luna, Julie Stanton, Le Devoir, Le Droit, Le Soleil, Luis Thenon, Marie-Jeanne Bouchard, Mouvement poétique mondial, Nora Attala, parfaitement le chaos, poésie québécoise, Sebastián Ibarra Guttiérez, Valérie Gaudreau, Valérie Lessard, Victor H. Ramos

Affiche Mov. Poeìtico Mundial Qc

Jeudi 28 février, Julie Stanton fera partie des poètes invités à l’événement « Pour un monde sans murs » dans le cadre du Mouvement poétique mondial. Lors de cette soirée, elle présentera un extrait de Parfaitement le chaos, publié aux Heures bleues.

Quand ? jeudi 28 février dès 19h

Où ? Université Laval, Pavillon Casault, salle 0728, studio théâtre. (Stationnement gratuit au Pavillon Desjardins)

Nora Attala, Sebastián Ibarra Guttiérez, Alix Renaud, Luis Thenon, Javier Vargas de Luna, Victor H. Ramos, Marie-Jeanne Bouchard et François Veilleux seront également de la partie pour vous offrir une soirée mémorable.

Le Mouvement poétique mondial organise, depuis sa fondation en 2011 à Medellín, des événements poétiques dans 120 pays et plus de 300 villes.

chaosParfaitement le chaos suivi de Élie ma joie, Les Heures bleues, 2011.

Le mot de l’éditeur : « Ça tranche à grands coups de ciseaux dans les grands pactes de la grande fraternité, c’est un peu loup, un peu hyène, intrinsèquement monstre. Ça se flatte le Pouvoir, ça se congratule le Bonze, ça se tient à couteaux tirés smoking de soie dans la salle de bal ; il ne leur reste qu’un mètre carré pour se sauter à la jugulaire. » Face au chaos universel, Julie Stanton témoigne de sa désespérance dans une poésie coup-de-poing où elle dénonce les dérives du monde.

Hiver 2013      Estuaire no. 151 : « Déjà en 1999, avec La Passante de Jérusalem, Julie Stanton avait amorcé son dialogue avec le mal contemporain, illustrant la fin des choses par la tragédie de la Shoah. Puis, dans Requiem pour rêves assassinés, en 2004, elle écrivait une partition à deux voix, celle du vingtième siècle et celle de Neruda. Entre vie individuelle et histoire, elle faisait entendre le chant lancinant de ceux et celles dont les rêves ont été assassinés par la guerre. Parfaitement le chaos semble compléter, mais sur le ton de l’indignation, un triptyque original et personnel, d’un lyrisme lucide et émouvant, sur la condition humaine. (…) Ce livre de Julie Stanton s’inscrit dans le courant d’une nouvelle poésie baroque. À la suite de ceux d’Élise Turcotte, de Jean-Marc Desgent et, bien sûr, de Paul Chamberland le premier, le poème sans concession de Julie Stanton nous rappelle que le lyrisme du XXIe siècle, s’il veut porter l’espoir, ne peut plus s’adonner à quelque idéalisme. Il doit d’abord affirmer, dénoncer et porter la colère de l’individu. » [Jean Royer]

28.01.12          Le Devoir : « Julie Stanton publie aux Heures bleues un recueil de grandes proses intenses et révoltées contre la douleur. Devant ce qu’elle considère être Parfaitement le chaos, elle s’insurge et réclame le droit à la vie, au souffle de la puissance émotive, à l’incarnation de la ferveur. Ce cri-là vient de la faute qu’elle ressent devant les misères dont elle ne peut pas apaiser la peine ni la virulence. Elle le souligne tristement : « dans mes temps morts/j’ai marché sur des os et j’ai désespéré… » Cela n’a pas suffi pour éteindre la force intérieure qui sourd des lectures poétiques ou de l’inaltérable désir de vivre. En seconde partie, dans Élie ma joie, naît un petit-fils qui ressuscite l’avenir, qui est justement « une issue vers la joie. » Retrouver la grâce devant l’innocence, voilà bien la voie de survie pour celle qui tremble d’indignation. Julie Stanton signe un solide recueil ciselé aux flammes et aux souffrances. On y puise une leçon de lucidité formidable et y admire une écriture lumineuse. » [Hugues Corriveau]

21.07.11       Voir : « L’écriture de Stanton, éclatante, imagée, qu’on dirait sur le qui-vive, mime tour à tour les appréhensions et les illusions d’une voix lasse des égarements mondains et forte de sa propre présence. » [Éric Paquin]

19.07.11       Info-Culture Biz : « Le recueil, illustré sobrement de quelques encres créées par Danielle Stanton, sœur de l’auteure, porte en lui une densité rare par sa structure et le travail créateur dont il est issu. Tout semble être minutieusement choisi pour créer un effet. Les textes offrent aussi plusieurs lectures, au gré des thèmes que le lecteur voudra explorer. Si vous vous intéressez à la poésie travaillée et riche, n’hésitez pas à feuilleter ce livre. C’est un bijou qui sait briller, peu importe sous quelle lumière vous l’éclairerez. » [Yannick Lepage]

18.06.11       Le Droit : « Dans Parfaitement le chaos, Julie Stanton s’écrie dans des élans de lucidité douloureuse, mais aussi porteuse. Elle (nous) réfléchit, remet l’état du monde en question, nous renvoie à nos responsabilités. (…) Elle se révolte, s’emporte, pour exorciser la mort, pour dénoncer la violence et la haine, pour s’insurger du sort réservé aux laissés-pour-compte. (…) Le ton change, dans Élie ma joie, alors que Julie Stanton berce la grand-mère en elle, les espoirs que son petit-fils a fait naître avec lui, la vie qu’il a remuée en elle. Cette deuxième partie du recueil vibre tel un réjouissant hymne à la vie qui continue, envers et contre tout… et tous. Et se lit, lumière après la noirceur, comme un baume apaisant pour les yeux dessillés par Parfaitement le chaos. » [Valérie Lessard]

21.05.11       Le Soleil : « De la poésie du réel, concrète et universelle, mais à laquelle Julie Stanton insuffle toujours une touche personnelle comme autant de petites «apocalypses intimes». Pas jojo, tout ça? En effet, mais Parfaitement le chaos n’est pas que sombre. (…) Car si la planète fout le camp, la vie continue, nous dit Julie Stanton dans Élie ma joie, deuxième partie du recueil, consacrée à la naissance de son petit-fils Élie. Sous-titré «méditation au-dessus d’un berceau», ce très beau texte se veut une ode à la naissance et à la vie. Sans pudeur, Julie Stanton précise en exergue que le récit est dédié à sa fille Marie-Hélène, «qui a frôlé la mort en donnant la vie». Une charge émotive supplémentaire pour ce texte qui, sans perdre la gravité de la première partie, montre que parfois, souvent, la vie et la lumière triomphent. » [Valérie Gaudreau]

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2019

Le Montcalm de Julie Stanton à La Promenade des écrivains

06 vendredi Juil 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, André Ricard, Écrits des Forges, Éditions Les Heures Bleues, Carnets de l'Isle-aux-Grues, Christine Eddie, Claire Martin, Esther Croft, Guy Boivin, Hans Jürgen Greif, Jean Lemieux, Julie Stanton, La Promenade des écrivains, Le Bonheur cet illusionniste, Maison de la littérature, Marie-Ève Sévigny, Mémorial pour Geneviève et autres tombeaux, Montcalm, parfaitement le chaos, prix Alain-Grandbois de l'Académie des lettres du Québec, Prix du Patrimoine des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches, Prix Littéraires du Gouverneur Général, Requiem pour rêves assassinés, ville de littérature UNESCO

La Promenade des écrivains

Vous avez envie de visiter Québec, ville de littérature UNESCO, autrement ? En juillet, La Promenade des écrivains offre au grand public cinq parcours littéraires. (Re)découvrez le Vieux-Québec, les quartiers Montcalm, Limoilou et Saint-Sauveur, par les textes de vingt-cinq auteurs québécois !

 

Si vous souhaitez parcourir « Montcalm, souvenirs d’hier et d’aujourd’hui », vous aurez la chance de découvrir notamment un texte inédit de Julie Stanton qui pose un regard à la fois extérieur et intérieur sur le Sacré qui l’entoure au sein de ce quartier.

Quand ? Dimanche 8 juillet, de 10 h 30 à 12 h 30

Départ : 860, rue Père-Marquette (coin avenue de Lévis et rue Père-Marquette), Québec

Neuf écrivains du quartier racontent la douceur d’y vivre : Guy Boivin, Esther Croft, Christine Eddie, Hans Jürgen Greif, Jean Lemieux, Claire Martin, André Ricard et Julie Stanton.

 

Julie Stanton _ Cr. Photo : Régis Mathieu

Julie Stanton est poète et romancière. Née en 1938 à Québec, elle y pratique divers métiers de l’écriture depuis 40 ans.

En 2004, Requiem pour rêves assassinés : Hommage à Pablo Neruda[3] est lancé en présence de l’écrivaine à La Chascona[4] et est finaliste en 2005 pour le prix Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec. En 2011, Parfaitement le chaos suivi de Élie ma joie est reçu comme « un solide recueil ciselé aux flammes et aux souffrances. » La même année, Carnets de l’Isle-aux-Grues reçoit le Prix du Patrimoine des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches dans la catégorie interprétation et diffusion. Finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général 2014 dans la catégorie « Poésie » pour Mémorial pour Geneviève et autres tombeaux (2013), Julie Stanton nous a offert un nouvel opus, Le Bonheur cet illusionniste, paru aux Écrits des forges en mars 2017.

 

Pour de plus amples informations sur la diversité des parcours proposés et leur calendrier, cliquez ici.

  • Tous les parcours sont animés par l’écrivaine Marie-Ève Sévigny, directrice de la programmation.
  • Sur réservation : 418 641-6797
  • Tarif : 20 $

La Promenade des écrivains est présentée en collaboration avec La Maison de la littérature.

 

[3] traduit en espagnol et publié en Argentine par Ediciones Botella al Mar sous le titre : Réquiem por sueňos asesinados en septembre 2017.

[4] l’une des maisons-musées dédiées à la mémoire du poète et siège de la fondation Neruda à Santiago, au Chili.

 

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

Nicolas Paquin, invité d’honneur au 9e Festival BD-livre jeunesse de Coutances

07 jeudi Juin 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, Éditions du Phoenix, Centre Juno Beach, Combattre dans l'ombre, Festival Le manchot bulleur, Les volontaires, Nicolas Paquin, prix CALQ-Chaudières Appalaches, Prix Philippe-Aubert-de-Gaspé, sous le feu de l'ennemi, théâtre de guerre

Nicolas Paquin (Cr. Photo : Nathalie Paradis)

Actuellement en tournée en France, Nicolas Paquin, lauréat du prix Philippe-Aubert-de-Gaspé pour la trilogie « Les volontaires » et du prix CALQ-Chaudière-Appalaches dans la catégorie « œuvre de l’année » pour Combattre dans l’ombre, sera invité d’honneur au 9e festival de bande dessinée et du livre jeunesse de Coutances « Le manchot bulleur » en Basse-Normandie (France).

 

Pour la 2e année consécutive, Nicolas Paquin est accueilli en France. Invité à titre de conférencier, l’année dernière, par la Maison du Québec à Saint-Malo, Nicolas Paquin avait présenté ses œuvres à Dieppe, Coutances et Courseulles-sur-Mer. Cette année, il sera invité d’honneur au 9e festival de bande dessinée et du livre jeunesse de Coutances « Le manchot bulleur » du 8 au 9 juin, avant de rejoindre le Centre Juno Beach (Courseulles-sur-Mer) le 10 juin.

En marge des activités organisées pour ses 15 ans d’existence, le Centre Juno Beach accueillera aussi Nicolas Paquin et sa trilogie « Les volontaires » (Du Phoenix Éditions) le dimanche 10 juin dès 15h pour une rencontre-signature.

Pour suivre Nicolas Paquin dans son périple, cliquez ici.

Pour en savoir plus sur la rencontre du 10 juin, cliquez ici.

L’auteur :

Originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu, Nicolas Paquin a déjà 9 livres à son actif. En 2010, Il remporte le concours Un Pont, une légende[1] avec « Mathias et Félicité » et publie deux romans[2]. De 2010 à 2013, il signe une chronique hebdomadaire dans Le Canada Français et en 2011, on le sollicite pour écrire Haut-Richelieu Atours & Alentours[3]. Il reçoit l’année suivante une bourse du Conseil des Arts des Lettres du Québec pour le recueil de légendes urbaines, Ce qu’il ne faut pas dire[4].

En 2013, Nicolas Paquin publie un suspense ados/adultes, Piégés, aux Éditions du Phoenix[5]. De 2014 à 2016, il plonge dans le roman d’aventures historique, fort de sa rencontre avec des vétérans de la Seconde Guerre mondiale. Il leur rend hommage dans sa trilogie Les Volontaires[6], pour laquelle il bénéficie d’une bourse du Conseil des Arts du Canada. En 2017, Combattre dans l’ombre reçoit le prix CALQ-Chaudière-Appalaches dans la catégorie « œuvre de l’année. » À l’automne, on lui décerne le prix Philippe-Aubert-de-Gaspé pour sa trilogie Les volontaires et sa contribution à la littérature et à l’histoire du Québec. En octobre 2017, Nicolas Paquin renoue avec le policier pour Après-bal[7]. Le 29 mai 2018, il reçoit des mains du maire de Berneval la médaille de la commune.

La trilogie « Les volontaires »

Résumé : Voici l’histoire d’un adolescent rêveur et passionné d’aviation. Son parcours le mènera des rues de Québec jusque dans le ciel de France à travers une série d’aventures où s’entrecroisent l’entraînement, l’espionnage, les amours de guerre et la mort. Éditions du Phoenix lancent le premier roman d’une nouvelle série portant sur la Seconde Guerre mondiale. Cette série présente le destin de jeunes soldats qui ont choisi de sacrifier leur vie pour aller combattre la menace nazie durant le plus grand conflit du vingtième siècle. Les trois volumes couvriront les années 1941 à 1945.

Pour lire un extrait, cliquez ici.

 

 

Résumé : En 1942, l’Allemagne d’Adolf Hitler domine l’Europe et étend ses armées sur l’Afrique et la Russie. En France occupée, les résistants soutiennent soldats et civils menacés au péril de leur vie. Pendant ce temps, en Angleterre, les Alliés préparent la grande offensive. En attendant le jour J, Henri Léveillé, dont l’avion s’est écrasé derrière les lignes ennemies, tente de rejoindre les siens. Son frère Émery, s’est promis de le sauver.

Combattre dans l’ombre est le deuxième tome de la série Les Volontaires. L’auteur Nicolas Paquin amène ses lecteurs dans l’univers angoissant de la Résistance. Ses personnages croisent la vie de héros et de scélérats qui ont marqué pour toujours les heures sombres du plus grand conflit du 20e siècle.

Pour lire un extrait, cliquez ici.

 

Résumé : Le 6 juin 1944, le rideau se lève sur le Débarquement de Normandie. Les acteurs de ce grand déploiement sont des adolescents, des jeunes volontaires dont le rôle sera déterminant pour la libération de l’Europe. Principaux acteurs du dernier acte de la Seconde Guerre mondiale, ils feront preuve d’un courage sans précédent faisant d’eux de véritables héros.

Dans Théâtre de guerre, le dernier tome de la série « Les Volontaires », l’auteur nous présente des personnages attachants, authentiques, véridiques. La guerre fait naître des liens incompatibles au départ, et l’amitié qui se développe entre Émery et Matthaus est pleine de sagesse. Ainsi se terminent les heures sombres du plus grand conflit du 20e siècle.

Vous voulez en savoir plus ? Visitez le site Internet de Nicolas Paquin, suivez le sur Facebook et Instagram !

[1] organisé par Parcs Canada

[2] Abel Bates : de vice ou de mort – roman policier, Montréal, Éd. Popfiction, Coll. rocambolesque, 2010, ISBN : 978-2-923753-09-6

Et Abel Bates : banlieue blanche – roman policier, Montréal, Éd. Popfiction, Coll. rocambolesque, 2010, ISBN : 978-2-923753-16-4

[3] Avec des photographies de Simon Lachapelle, Saint-Constant, Broquet, 2012, ISBN : 9782896543663

[4] Avec des photographies de Simon Lachapelle, Saint-Jean-sur-Richelieu, Nicolas Paquin, 2013, ISBN : 9782981075611 diffusé en 2013 au profit de la Fondation du Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu

[5] Piégés – roman pour adolescent, Montréal, Éd. du Phœnix, 2013, ISBN : 9782923425993

[6] Sous le feu de l’ennemi, Les volontaires t.1, Montréal, Éd. du Phœnix, 2014, ISBN : 9782924253236

Combattre dans l’ombre, Les volontaires t.2, Montréal, Éd. du Phœnix, 2015, ISBN : 9782924253441

Théâtre de guerre, Les volontaires t.3, Montréal, Éd. du Phœnix, 2016, ISBN : 9782924253762

[7] Montréal, Éd. du Phœnix, 2017, ISBN : 9782924833018

 

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

 

Soyez de la fête avec Martyne Pigeon, Julie Stanton et Mathieu Villeneuve !

16 lundi Avr 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, atelier pour enfants, Éditions La Peuplade, Éditions Les Heures Bleues, Borealium tremens, Journée mondiale du livre et du droit d'auteur, Julie Stanton, la boite à monstre, lecture croisée, Librairie Morency, Martyne Pigeon, Mathieu Villeneuve, prix Alain-Grandbois de l'Académie des lettres du Québec, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, Requiem pour rêves assassinés, speed-dating littéraire

CompositionJMDLA

 

C’est une superbe Journée mondiale du livre et du droit d’auteur qu’a préparée la librairie Morency ; une journée pour des lecteurs de tous les âges, des monstres, de la poésie en français et en espagnol, et des échanges littéraires dans un speed-dating original. Trois activités avec Martyne Pigeon, Julie Stanton et Mathieu Villeneuve à ne pas manquer !

 

Requiem HR

Cela commence à 13h avec Julie Stanton et son traducteur Victor Ramos qui vous proposeront une lecture bilingue et à deux voix de Requiem pour rêves assassinés : hommage à Pablo Neruda (Éd. Les Heures bleues, 2004), finaliste du prix Alain-Grandbois de l’Académie des Lettres du Québec, traduit et publié en 2017 en Argentine. Une lecture qui ouvre à une autre musicalité.

 

 

 

boite à monstre

À 14h, les plus jeunes (6-9 ans) profiteront de l’atelier animé par Martyne Pigeon. Après la lecture de La boîte à monstre par son auteure, chaque enfant sera invité à construire son premier livre de monstre. Il y dessinera sa plus grande peur, pour ensuite lui ajouter un décor et des artifices loufoques. Le but de l’activité est d’apprendre à apprivoiser ses peurs et à respecter les craintes de ses camarades. Les enfants peuvent venir déguisés en monstre. Nombre maximum de participants : 20. Réservation suggérée : (418) 661-8777

 

 

HR

 

De 14h à 17h, Mathieu Villeneuve vous convie à lui présenter votre livre préféré en tête-à-tête. À partir de cette confession, Mathieu Villeneuve choisira un extrait de son roman Borealium tremens (Éditions La Peuplade), récipiendaire du Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, qui fera écho à votre choix. Une rencontre privilégiée qui se déroulera sur la mezzanine de la librairie.

 

 

 

Pour plus de renseignements, contactez la Librairie Morency,

Place Fleur de Lys à Québec

418-661-8777

 

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

Dansez sur les mots avec Gabriel Osson

07 samedi Avr 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

AAOF, agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Canada, agent littéraire Québec, Alliance française de Toronto, AM Matte, Association des Auteures et Auteurs de l'Ontario français, ateliers d'écriture, Éditions David, Bookivores, CHOQ Fm 105.1, Danser sur les mots, David Lonergan, Didier Leclair, Efflorescences, Envolées, Franco Découvertes, Gabriel Osson, Haïti, Hubert le restavèk, J'ai marché sur les étoiles, Journée mondiale du livre et du droit d'auteur, L'express, Les chroniques de Passy, Les mille et une pages de LM, Martine Lévesque, Miss Dupont, Mordus des mots, Nafée Faïgou, Nuit blanche magazine littéraire, Paul Savoie, Paul-François Sylvestre, Port-au-Prince, prix Christine-Dumitriu-van-Saanen

gabriel-danserFinaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen avec son premier roman, Hubert le restavèk, publié aux Éditions David, Gabriel Osson vous invite à fêter la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur de 18 h à 20 h le 21 avril prochain à la Galerie Pierre-Léon de l’Alliance française de Toronto.

La soirée Danser sur les mots se déclinera en deux parties : après une conférence et une discussion sur les droits d’auteur, les danseuses de la troupe ADDYDANSE offriront un spectacle sur les textes lus de Nafée Faïgou, Didier Leclair, AM Matte, Gabriel Osson, Paul Savoie et Paul-François Sylvestre. Une soirée de littérature vivante à ne pas manquer.

À propos de Gabriel Osson :

_DSC1081ed test 2 (1)

Gabriel Osson (Cr. Ph. : Christine Bérubé)

Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, Gabriel siège au conseil d’administration de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario Français (AAOF) et du collectif d’artistes ontarien BRAVO-Sud. Il anime aussi l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures sont exposées dans plusieurs galeries d’art.

            Après deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017. C’est en regardant un documentaire à la télévision que Gabriel Osson, interpellé par le sort de ces enfants, décide d’écrire Hubert, le restavèk. « Avec mes souvenirs personnels, les discussions que j’ai pu entretenir avec mes amis haïtiens et des recherches sur Internet, j’ai découvert que ce phénomène existait toujours. En 2013, on comptait 400 000 enfants restavèk en Haïti, » déplore l’auteur[1]. « Mon rêve, c’est de vendre un livre pour chaque enfant restavèk. » Ce premier roman amène Gabriel Osson à parcourir l’Ontario et lui vaut d’être invité au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…

hubert-le-restavek-2Quatrième de couverture : « Le bateau quitte lentement le quai de Jérémie. J’ai le cœur qui débat, gros dans ma poitrine. Les larmes roulent sur mes joues. La taille de ma mère s’amenuise de plus en plus, pour ne plus devenir qu’un petit point à l’horizon. Je reste là à l’arrière du bateau fixant ce point jusqu’à ce qu’il disparaisse tout à fait de mon champ de vision. Je suis en route pour une nouvelle aventure dont je rêve depuis des mois, mais je suis tout de même angoissé devant l’inconnu.

Après une nuit mouvementée en mer, je suis arrivé à Port-au-Prince en provenance de ma ville natale, une petite ville du sud. Le quai de débarquement, où je me trouve, si on peut l’appeler ainsi, est juste à côté du marché de charbon qui, sans le savoir, allait changer ma vie.

L’histoire qui suit est la mienne et pourrait être celle de milliers de jeunes envoyés par leurs familles pour vivre avec un parent, qui un oncle, une tante, une marraine dans la capitale ou pour être placés comme dans mon cas dans une famille, comme garçon à tout faire ou comme on nous appelle ici : un restavèk (reste avec). »

Il existerait en Haïti près de 400 000 restavèks. Ces enfants, victimes d’abus de toutes sortes, sont maintenus dans un état proche de l’esclavage. Haïtien émigré à Toronto, Gabriel Osson raconte ici l’histoire bouleversante de l’un d’eux.

Quelques échos dans les médias :

22.06.17      Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]

06.05.17      Bookivores     « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]

30.04.2017      Les chroniques de Passy      « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]

17.04.2017     Les mille et une pages de LM             « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]

11.04.2017        L’express             « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]

Pour lire un extrait, cliquez ici

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

 

[1] Gabriel Osson verse l’intégralité de ses droits d’auteur de Hubert, le restavèk à deux organismes : la fondation Maurice A. Sixto et l’association Respire Haïti.

Mathieu Villeneuve au Salon international du livre de Québec

05 jeudi Avr 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, Au vent des mots, Éditions La Peuplade, Émilie Perreault, Billy Robinson, Blade Runner, Borealium tremens, Caroline le Gal, causerie, Charlotte Desmousseaux, Christian Desmeules, Christophe Bernard, Claudia Larochelle, Dimédia, dix incontournables de la rentrée littéraire, dystopie, Fabien Deglise, Karolyne Georges, Kevin Lambert, La fable sombre de Mathieu Villeneuve, La fin du monde est à 7 heures : l'apocalypse en terre Québec, La servante écarlate, La vie devant soi, Le Cochaux show, Le Devoir, Le Droit, Le terroir revisité, Le terroir revisité : amour haine et racines, Les travers de la péri-urbanité, Librairie de Verdun, librairie Les Bouquinistes, librairie Marie-Laura, Librairie Pantoute, Littérature du Québec, Littérature québécoise, Lorient, Lynda Dion, Mad Max, Marie-Christine Bernard, Mathieu Villeneuve, Mathieu Villeneuve nous envoûte, Mylène Brunet, Nantes, Nuit blanche magazine littéraire, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, récit apocalyptique, rencontre d'auteurs, Salon International du Livre de Québec, scène des Rendez-vous littéraires, scène Radio-Canada, Shannon Desbiens, table ronde, terrasse des libraires, Valérie Lessard, Yvon Paré

Composition-SILQ-prixLe Salon international du livre de Québec s’annonce foisonnant pour l’auteur Mathieu Villeneuve. Du vendredi 13 avril au dimanche 15, vous aurez plusieurs occasions de rencontrer le lauréat du prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018 pour son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade.

Vendredi 13 avril :

À 11h, Claudia Larochelle recevra Mathieu Villeneuve, entouré de Marie-Christine Bernard et de Lynda Dion, pour une « rencontre d’auteurs » sur la scène Radio-Canada.  Durée : 25 minutes.

De 11h 30 à 13h, Mathieu Villeneuve vous offrira ses prescriptions littéraires à la Terrasse des libraires.

À 17h, Claudia Larochelle recevra Mathieu Villeneuve, Christophe Bernard, Kevin Lambert et Lise Tremblay pour une table ronde : « Le terroir revisité : amour, haine et racines » sur la scène des Rendez-vous littéraires. Durée : 55 minutes.

De 18h à 20h, Mathieu Villeneuve dédicacera Borealium tremens au kiosque 82 des Éditions La Peuplade (Espace Dimédia).

Samedi 14 avril :

À 18h, Mylène Brunet de la Librairie Pantoute animera la causerie : « La fin du monde est à 7 heures : l’apocalypse en terre Québec » à la Terrasse des libraires, foyer 4. Cantonnée longtemps à un simple sous-genre de la science-fiction, la dystopie fait de plus en plus parler d’elle, au point où plusieurs œuvres post-apocalyptiques profitent désormais d’un statut iconique (La servante écarlate, La route, la série « Mad Max », Blade Runner, etc.). Si cela est particulièrement vrai pour l’industrie cinématographique, la littérature n’est pas en reste, y compris la littérature québécoise. Mylène Brunet tentera de cerner comment, la dystopie et le récit apocalyptique s’articulent dans le corpus littéraire québécois avec les auteurs Mathieu Villeneuve et Karolyne Georges. Une présentation des Librairies indépendantes du Québec (LIQ). Durée : 60 minutes.

Dimanche 15 avril :

De 15h à 17h, Mathieu Villeneuve dédicacera Borealium tremens au kiosque 82 des Éditions La Peuplade (Espace Dimédia).

Ils en ont parlé :

HR05.04.2018 : Nuit blanche : « Le Nord de Villeneuve est un lieu déserté, qui semble lui-même victime d’une malédiction. (…) Magnifiquement décrit, le territoire est toujours recouvert d’une fine pellicule de grisaille. À chaque page, les paysages parlent de l’absence et de l’abandon à travers les traces dérisoires que les habitants ont laissées derrière eux ; à chaque page, un décor angoissant de film d’horreur se superpose à la triste réalité de l’exode rural. (…) Œuvre immersive, prophétique et crépusculaire écrite dans une langue vibrante, [Borealium tremens est un] roman de l’anti-terroir dans lequel le travail agricole est pour ainsi dire absent. Villeneuve est un habile prosateur et sa folie bien vite nous obsède. Il nous conduit lentement vers son climax, installe progressivement son atmosphère qui gagne toujours plus en étrangeté. Comme une lente escalade de l’ivresse, le récit s’opacifie puis s’accélère, jusqu’au delirium final où la réalité n’est plus qu’un fil fragile malmené par le délire éthylique. » [David Laporte, « Le délire nordique de Mathieu Villeneuve »]

05.04.2018 : « Un superbe livre ! L’écriture est dense, humaine et surtout fragile. Des émotions comme les vagues qui frappent les rochers. » [Caroline le Gal, libraire Au vent des mots, Lorient, France]

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence. (…) Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens. (…) Dans ce roman baroque et hallucinant, [David Gagnon] se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

← Articles antérieurs

Site de l’agence

Services

L’Agence Littéraire Laëns offre plusieurs services aux écrivains et à ceux qui veulent le devenir: le diagnostic littéraire, la correction de manuscrit, la direction littéraire, l’aide en vue d’une publication, la négociation de contrat et la promotion.

Avec l’Agence Littéraire Laëns, vous trouverez une oreille pour vous écouter et des conseils qui feront LA différence.

Pour en savoir davantage sur nos services, cliquez sur l'image du livre interactif.

Articles récents

  • Kili$ arrive en librairie
  • L’affaire du collège indien, de Sylvie Brien au bûcher!
  • Gabriel Osson lance Tambours et assons
  • Nos lendemains de feu, poème sur un monde en cendres
  • Gabriel Osson remporte le Prix Alain-Thomas avec LE JOUR SE LÈVERA
  • Un roman drôle et sensible signé Pauline Michel

Archives

  • novembre 2021
  • septembre 2021
  • août 2021
  • juin 2021
  • février 2021
  • décembre 2020
  • novembre 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • mai 2019
  • avril 2019
  • mars 2019
  • février 2019
  • novembre 2018
  • octobre 2018
  • septembre 2018
  • août 2018
  • juillet 2018
  • juin 2018
  • avril 2018
  • mars 2018
  • février 2018
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • février 2017
  • novembre 2016
  • septembre 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • janvier 2016
  • octobre 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • janvier 2015
  • décembre 2014
  • novembre 2014
  • octobre 2014
  • septembre 2014
  • août 2014
  • juin 2014
  • avril 2014
  • mars 2014
  • février 2014
  • janvier 2014
  • novembre 2013
  • octobre 2013
  • septembre 2013
  • août 2013
  • juillet 2013

Mots-clefs

agence littéraire agence littéraire laëns agent littéraire Québec correction de manuscrits correction de manuscrits Québec

Suivez-nous sur Facebook

Suivez-nous sur Facebook

Suivez-nous sur Twitter

Mes Tweets

Nombre de visiteurs

  • 102 865 visites

Flux RSS

RSS Feed RSS - Articles

Le droit d’auteur au Canada

Sites et blogs d'intérêt

  • Actualitté
  • Audrée Wilhelmy
  • Autofiction.org
  • C.N.L.
  • Conseil des Arts du Canada
  • Conseil des Arts et des Lettres du Québec
  • Institut Français
  • Julie lit au lit
  • La cause littéraire
  • Maison des Écrivains et de la Littérature
  • Sophielit
  • U.N.E.Q.

Sites, blogs, chaînes youtube que j'apprécie

  • Alain Cliche
  • Alchimie d'un roman
  • Audrée Wilhelmy
  • BooKalicious
  • Boulevard du VHS
  • Danielle Marcotte
  • France-Amérique
  • Julie lit au lit
  • La grande librairie
  • La librairie francophone
  • Le Passe Mot de Venise
  • Le tiers-livre
  • Les goûters littéraires d'Émilie
  • Lire/ARTV
  • martynepigeon.com
  • Solange te parle
  • Une doyenne, une sorcière et un caniche
Follow this blog
if(typeof(networkedblogs)=="undefined"){networkedblogs={};networkedblogs.blogId=1436152;networkedblogs.shortName="agence-litte\u0301raire-lae\u0308ns";}
wordpress hit counter

Agence

  • Agence Littéraire Laëns

Services

  • Services

Contact

  • Contact

Témoignages

  • Témoignages
  • Témoignages

Propulsé par WordPress.com.

  • Suivre Abonné
    • Agence Littéraire Laëns
    • Joignez-vous à 46 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Agence Littéraire Laëns
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné
    • S’inscrire
    • Ouvrir une session
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…