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Mathieu Villeneuve

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Vous auriez aimé rencontrer Mathieu Villeneuve, l’auteur de Borealium tremens lors du lancement de son roman à Chicoutimi, mais vous n’avez pas pu y assister parce que vous habitez trop loin ? Pas de problème. Les Éditions La Peuplade organise pour leurs auteurs de l’automne une série de lancements collectifs à Québec et Montréal.

Le 11 octobre, vous êtes invités au « Rayonnant lancement à Québec », à la Librairie du Quartier au 1120, avenue Cartier. Vous aurez ainsi la possibilité de rencontrer dès 17h30 : Mathieu Villeneuve (Borealium tremens), Alexandre Mc Cabe (Une vie neuve), Isabelle Gaudet-Labine (Nous rêvions de robots) et Noémie Pomerleau-Cloutier (Brasser le varech). Une belle occasion de découvrir plusieurs talents ! Pour de plus amples renseignements ou pour vous inscrire, cliquez ici.

 

Le 12 octobre, gens de Montréal, le « Rayonnant lancement » se passera cette fois à la librairie Le port de tête,  aux 262 et 269 avenue Mont-Royal Est. On vous y attend dès 17h30. Pour de plus amples renseignements ou pour vous inscrire, cliquez ici.

 

Borealium tremens, de Mathieu Villeneuve

Quelques échos dans les médias à propos de Borealium tremens, de Mathieu Villeneuve :

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

22.09-2017     Châtelaine : « Histoire de fantôme, de maisons hantées, mais aussi de rangs désertés : l’ambiance du premier roman de Mathieu Villeneuve, né à Chicoutimi en 1990, nous reste à l’esprit plusieurs jours après sa lecture. » [Annabelle Moreau — « Les 19 titres québécois à lire cet automne »]

20.09.2017      CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit, (…) écrit sous des teintes de contes et légendes. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17          Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». (…) Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations ; tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens. Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

09.09.17          ICI-Saguenay Lac-Saint-Jean : « Borealium tremens de Mathieu Villeneuve publié à La Peuplade est le roman québécois qui m’a le plus plu en ce début de rentrée littéraire. C’est un roman écrit avec une justesse de ton, très incarné, très ancré dans le territoire. (…) C’est un grand roman qu’il faut lire, perché sur une branche (…) ; je le conseille à tous ceux qui s’intéressent à la mythologie saguenéenne ou à la littérature en tant que telle. » [Olivier Boisvert — Quoi lire… en 90 secondes]

29.08.17          Ton barbier : « Nous n’avons vraisemblablement pas fini d’être surpris, saison après saison, par les chicoutimiens de La Peuplade. On nous propose ici une première œuvre délirante, un roman de la terre revisité au parfum d’essence, de bois brûlé et de cocaïne. » [P.-A. Buisson]

25.08.17          Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

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