• Actualités
  • On en parle
  • Conseils
    • Devenir écrivain
    • Auteur publié
    • Deuxième roman
  • Services
  • Emploi
  • Rencontres d’auteurs
  • Agenda
  • Contact

Agence Littéraire Laëns

~ Blogue

Agence Littéraire Laëns

Archives de mot-clé : Salon du livre de Paris

Sylvie Brien au Salon du livre de Montréal

10 samedi Nov 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

16 ans et patriote, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, Bayard Canada Livres, direction littéraire, Folio Junior, Gallimard Jeunesse, Grands prix Desjardins de la culture, Jérôme et son fantôme, livres audio, Montréal capitale mondiale du livre de l’Unesco, Mortels Noëls, prix littéraire Bernadette-Renaud, Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL, Prix Paul-Hurtmans, Prix Peuplier, Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue, Salon du Livre de Montréal, Salon du livre de Paris, semaine Paul-Hurtmans, Sylvie Brien, Vipérine Maltais

Sylvie Brien sera de retour au Salon du livre de Montréal pour une table ronde et plusieurs séances de signature pour 4 de ses romans : son premier Folio junior, Mortels Noëls, mais aussi le récemment primé 16 ans et patriote, et deux livres audios adaptés de sa série Jérôme et son fantôme. Quand ? Suivez le guide et préparez votre carnet du visiteur !

C’est le mercredi 14 novembre, et uniquement ce jour-là, que Sylvie Brien sera présente au Salon du livre de Montréal.

J01515_VIPERINE_MORTEL.inddElle commencera sa journée avec la table ronde « Les dessous du roman policier » à l’Espace TD de 13h à 13h25, qui sera animée par Olivier Hamel et avec Chantal Beauregard.

Découvrez comment on construit des enquêtes haletantes, remplies de suspense, et comment donner naissance à des personnages dans le cadre d’un roman policier jeunesse. Une rencontre qui ravira les amateurs d’intrigues.

Public : Dès 8 ans, primaire et secondaire

Les jeunes enquêteurs retrouveront la piste de Sylvie Brien, quelques minutes plus tard au kiosque 116 (Gallimard Jeunesse), puisqu’elle y dédicacera Mortels Noëls (tout juste sorti de l’imprimerie) de 13h30 à 14h30.

16 ans et patriote, un roman de Sylvie Brien

 

Pour les amateurs de romans historiques, Sylvie Brien dédicacera également 16 ans et patriote, pour lequel elle a remporté le Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL 2018  Ce roman s’adresse à un public de 13 ans et plus.  Où et quand Sylvie Brien vous le dédicacera ? De 15h à 16h au kiosque 432 (Bayard Canada Livres).

 

 

sérieJérôme

Depuis quelques semaines, les romans Jérôme et son fantôme, Jérôme et son fantôme, t. 2 : Les têtes coupées sont disponibles en livres audio ! Sylvie Brien vous les dédicacera de 16h à 17h au kiosque 568 de Vues et Voix. Discutez avec elle et découvrez comment ces romans fantastiques s’enracinent dans une histoire bien réelle.

 

Sylvie Brien, auteure

Sylvie Brien Cr. Photo : Jean-François O’Kane

Avec Sylvie Brien, tout va deux par deux : elle publie en France et au Canada (24 romans), écrit de l’adulte et du jeunesse, tantôt avec un narrateur masculin, tantôt avec un narrateur féminin, se passionne autant pour l’histoire que pour l’archéologie, s’assure du rythme de sa langue et veille à ce que ses personnages soient attachants, et donne de nombreuses conférences.

Pour écrire, Sylvie Brien s’inspire de reportages télévisés, d’articles de journaux ou de revues. Elle laisse se développer l’idée maîtresse et ses personnages et s’accorde au temps de l’écriture.

Ses livres rencontrent un large public, lui permettent d’être invitée au Salon du livre de Paris, à la semaine Paul-Hurtmans du Centre de Littérature de Bruxelles, d’être présidente d’honneur du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue en 2009 et de la Quinzaine du livre de Lanaudière en 2010, et valent à Sylvie Brien la reconnaissance de ses pairs : lauréate du Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL dans la catégorie « roman 13 ans et plus » avec 16 ans et patriote et membre du jury du prix littéraire Bernadette-Renaud en 2018, elle a été, entre autres, finaliste au Prix Paul-Hurtmans en 2010, lauréate des Grands prix Desjardins de la culture Lanaudière 2010 et finaliste au Prix Peuplier en 2017. La Fenêtre maléfique a été sélectionné pour l’événement « Montréal capitale mondiale du livre de l’Unesco. » Ses romans font régulièrement partie des sélections des libraires sur France Info.

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

Sylvie Brien remporte le Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL 2018

31 mercredi Oct 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités

≈ 2 commentaires

Mots-clés

16 ans et patriote, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Canada, agent littéraire Québec, AQPF, Éditions Bayard, Bayard Canada, Familles d'aujourd'hui, Grands prix Desjardins de la culture Lanaudière, Isabelle Audet, Jean-François Tremblay, L'Écho abitibien, La Presse, Lurelu, Maison de la littérature, Marie Fradette, Martin Guindon, prix littéraire Bernadette-Renaud, Prix littéraire des enseignants de français, Prix Peuplier, Quinzaine du livre de Lanaudière, Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue, Salon du livre de Paris, semaine Paul-Hurtmans du Centre de Littérature de Bruxelles, Sophie Gagnon, SophieLit, Sylvie Brien

Sylvie Brien reçoit le prix littéraire des enseignants de français du QuébecC’est avec 16 ans et patriote que Sylvie Brien remporte conjointement avec son éditeur, Bayard Canada, le Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL 2018 dans la catégorie « roman 13 ans et plus ». La cérémonie de remise des prix a eu lieu à la Maison de la littérature le mercredi 31 octobre en présence des membres du conseil d’administration de l’Association des professeurs de français (AQPF), de Gilles Herman, Éditions du Septentrion et membre du conseil d’administration de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL), David Tessier, directeur général, Laurentien, et Stéphane Abraham, directeur régional des ventes – Québec et Maritimes, Rolland.

Les Prix littéraires des enseignants de français visent à promouvoir la littérature québécoise et canadienne de langue française auprès des enseignants de français du Québec, à stimuler leur intérêt pour ces œuvres et à les faire connaître et apprécier par leurs élèves.

16 ans et patriote, un roman de Sylvie Brien

Résumé de l’éditeur : Le 27 juillet 1837, la vie de Marc Campbell, un adolescent de 16 ans habitant à Pointe-aux-Trembles, change pour toujours alors qu’il joint officiellement les rangs des Patriotes. Témoin important des événements qui mèneront aux Rébellions de 1837-1838 dans le Bas-Canada, Marc est incarcéré le 28 janvier 1838, à la prison au Pied-Du-Courant. Isolé des 500 autres Patriotes qui y sont emprisonnés, le garçon angoisse, persuadé qu’il sera bientôt pendu et qu’il ne reverra plus sa famille ni la belle Marie Bazinet.

Quelques échos dans les médias :

04.01.18          SophieLit       « 16 ans et patriote] deviendra sans doute un incontournable pour parler de la rébellion des patriotes. » [Sophie Gagnon, « Défi littéraire « ado » 2018 – janvier »]

Hiver 2018      Lurelu vol. 40 n°3     « Se faire un devoir de mémoire, raconter le passé aux nouvelles générations reste intimement lié aux fondements de la littérature jeunesse. Mais si les grandes guerres, les génocides, le terrorisme, la Nouvelle-France ou les biographies de personnages importants sont des thèmes qui reviennent fréquemment dans le corpus, l’histoire du bas et du Haut-Canada, et plus précisément la révolte des Patriotes, reste encore peu exploitée ici, avec 16 ans et Patriote (…), Sylvie Brien comble cette lacune en racontant avec intelligence et vigueur les heures troubles vécues ici par le plus jeune Patriote, Marc Campbell, emprisonné lors des rebellions de 1837-1838. Au-delà de cette histoire, c’est tout un contexte historique qui est présenté. Sans parti pris pour une langue ou un peuple, elle met en lumière la volonté des Canadiens français d’accéder à la justice et à l’égalité. (…) Jouant sur les contrastes entre l’hiver froid de 1838 et l’automne brûlant de 1837, l’auteure use d’un vocabulaire évocateur, de figures de style et de métaphores qui contribuent à camper l’atmosphère. (…) L’écriture juste de Sylvie Brien, dénuée de jugements, est par ailleurs portée par tout un style riche qui ajoute à l’atmosphère mise en scène et contribue aussi à circonscrire les personnages et les événements. » [Marie Fradette, « La Rébellion de 1837 à hauteur d’adolescent »]

17.12.17          La Presse       « Une histoire inspirée de faits réels qui donne envie de comprendre les enjeux de cette révolte. » [Isabelle Audet, « Livres jeunesse québécois »]

29.10.2017      L’Écho abitibien       « Francs-Maçons, Templiers, camp de détention… aucun sujet n’est tabou pour l’auteure Sylvie Brien, qui jette cette fois-ci son éclairage romanesque sur l’histoire des Patriotes. » [Martin Guindon, « Sylvie Brien jette son éclairage sur les Patriotes »]

11.10.17          SophieLit        « C’est un véritable cours d’histoire qui déboule, intense et fluide, dans une aventure enlevante qui exhale une soif de liberté. Les événements dramatiques se succèdent et interpellent. Et comme pour tout bon récit historique, on sent que l’auteure évite les raccourcis. J’ai d’ailleurs grandement apprécié comment elle refuse catégoriquement le piège de considérer la lutte des Patriotes comme un conflit ethnique ou linguistique; il s’agit d’un combat pour l’autodétermination d’un peuple qui élève l’égalité pour tous au sommet de ses préoccupations. Inspirant! Je souligne aussi les nuances qui [teintent] les croyances politiques de plusieurs personnages ou instances (dont, bien sûr, le clergé). Ce réalisme démontre la complexité des questions sociopolitiques où plusieurs enjeux, comme le bonheur familial et l’engagement social, entrent en vives tensions. Le lecteur peut alors mieux comprendre pourquoi, par exemple, des Canadiens français pouvaient être contre les Patriotes et soutenir les Loyaux.
L’évolution personnelle de Marc Campbell constitue aussi une lecture percutante riche en émotion. (…) Son histoire ajoute une valeur non négligeable au livre en nous permettant une immersion dans une époque où la vie était bien différente (…). Le vocabulaire de l’auteure est d’ailleurs recherché pour mieux décrire la réalité du 19e siècle et le lecteur appréciera ses nombreuses allusions à de petits aspects surprenants de la vie d’antan.(…) Indéniablement, le roman ouvre les lecteurs sur un conflit incontournable qui a façonné notre société. Il donne envie d’approfondir nos connaissances sur les évènements, mais aussi sur certains personnages clés et sur Marc Campbell. » [Jean-François Tremblay, « 16 ans et Patriote ! »]

03.10.2017      Familles d’aujourd’hui        « On ne peut faire autrement que de se sentir interpellé par la cause qu’il a défendue et de lui souhaiter un heureux dénouement. Lorsque le roman se termine, on se prend aussi à souhaiter qu’il connaîtra une suite, ce qui serait fort possible étant donné qu’il ne couvre que la première rébellion des Patriotes. Bravo à l’auteure Sylvie Brien pour nous avoir fait vivre de l’intérieur une période importante de notre histoire nationale! » [Famille Lauzier, « 16 ans et Patriote ! : touchant et intéressant »]

Sylvie Brien, auteure

Sylvie Brien
Cr. Photo : Jean-François O’Kane

Avec Sylvie Brien, tout va deux par deux : elle publie en France et au Canada (24 romans), écrit de l’adulte et du jeunesse, tantôt avec un narrateur masculin, tantôt avec un narrateur féminin, se passionne autant pour l’histoire que pour l’archéologie, s’assure du rythme de sa langue et veille à ce que ses personnages soient attachants, et donne de nombreuses conférences.

Pour écrire, Sylvie Brien s’inspire de reportages télévisés, d’articles de journaux ou de revues. Elle laisse se développer l’idée maîtresse et ses personnages et s’accorde au temps de l’écriture.

Ses livres rencontrent un large public, lui permettent d’être invitée au Salon du livre de Paris, à la semaine Paul-Hurtmans du Centre de Littérature de Bruxelles, d’être présidente d’honneur du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue en 2009 et de la Quinzaine du livre de Lanaudière en 2010, et valent à Sylvie Brien la reconnaissance de ses pairs : lauréate du Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL dans la catégorie « roman 13 ans et plus » avec 16 ans et patriote et membre du jury du prix littéraire Bernadette-Renaud en 2018, elle a été, entre autres, finaliste au Prix Paul-Hurtmans en 2010, lauréate des Grands prix Desjardins de la culture Lanaudière 2010 et finaliste au Prix Peuplier en 2017. La Fenêtre maléfique a été sélectionné pour l’événement « Montréal capitale mondiale du livre de l’Unesco. » Ses romans font régulièrement partie des sélections des libraires sur France Info.

 

___________________________________________

©Agence Littéraire Laëns 2018

Mathieu Villeneuve à Livre Paris

15 jeudi Mar 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

≈ Laisser un commentaire

Mots-clés

agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Québec, Éditions La Peuplade, Émilie Perreault, Billy Robinson, CDE-Gallimard, CFLX 95.5, Charlotte Desmousseaux, Christian Desmeules, dix incontournables de la rentrée littéraire, Fabien Deglise, La chasse-galerie, La fable sombre de Mathieu Villeneuve, La Presse, La vie devant soi, Le Cochaux show, Le Devoir, Le Droit, Le survenant, Les travers de la péri-urbanité, Littérature du Québec, Littérature québécoise, Livre Paris, Maria Chapdelaine, Mario Cloutier, Mathieu Villeneuve, Nantes, Paris, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, Québec Édition, Revue Les Libraires, roman du terroir, Salon du livre de Paris, séance de dédicace, Shannon Desbiens, Valérie Lessard, Yvon Paré

Mathieu Villeneuve

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Mathieu Villeneuve, finaliste du Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018  fait partie des 40 auteurs québécois présents au Salon du livre de Paris du 16 au 18 mars. Il vous y dédicacera son premier roman, Borealium tremens, publié chez La Peuplade.

Où ? À l’emplacement E 45 de Québec Édition.

Quand ? Vendredi 16 mars de 17h à 18h, samedi 17 mars de 18h à 19h et dimanche 18 mars de 16h à 17h.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens dans les médias :

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence.
Que cherche et que trouvera David, jeune homme de 28 ans en retournant sur la terre de ses ancêtres afin de reconstruire la Maison Brûlée dont il vient d’hériter ? Quel sens donner à ce chantier titanesque, quel sens donner à la terre ? David, dont les parents sont morts durant Le grand déluge de 1996, cherche ici à conjurer le mal et à tenir ses racines. Mais la folie guette, odieuse et survoltée. Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

29.01.2018      Impressions sur livres : « Passé et présent font bon ménage dans la langue de Mathieu Villeneuve. Excellent conteur, fin observateur, sa description des lieux et de toute la région vaut n’importe quelle brochure socio-touristique du coin. On ressent facilement les vents de canicule et ceux d’hiver, les odeurs de terre et d’humidité, la poussière, les sons des oiseaux et de la scierie voisine, tellement qu’on en redemande. (…) Magnifiquement écrit, ce livre contient plusieurs belles idées qui donnent ses lettres de noblesse au Nord inhospitalier où il se déroule. » [Alain, « Borealium tremens, par Mathieu Villeneuve »]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

___________________________________________

 

©Agence Littéraire Laëns 2018

Site de l’agence

Services

L’Agence Littéraire Laëns offre plusieurs services aux écrivains et à ceux qui veulent le devenir: le diagnostic littéraire, la correction de manuscrit, la direction littéraire, l’aide en vue d’une publication, la négociation de contrat et la promotion.

Avec l’Agence Littéraire Laëns, vous trouverez une oreille pour vous écouter et des conseils qui feront LA différence.

Pour en savoir davantage sur nos services, cliquez sur l'image du livre interactif.

Articles récents

  • Gabriel Osson remporte le Prix Alain-Thomas avec LE JOUR SE LÈVERA
  • Un roman drôle et sensible signé Pauline Michel
  • Julie Stanton remporte le Prix littéraire des Écrivains francophones d’Amérique
  • Il est beau, il est drôle et il est signé Patrick Loranger
  • Gabriel Osson sort 13 héros haïtiens de l’ombre
  • Un nouvel opus pour Julie Stanton

Archives

  • février 2021
  • décembre 2020
  • novembre 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • mai 2019
  • avril 2019
  • mars 2019
  • février 2019
  • novembre 2018
  • octobre 2018
  • septembre 2018
  • août 2018
  • juillet 2018
  • juin 2018
  • avril 2018
  • mars 2018
  • février 2018
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • février 2017
  • novembre 2016
  • septembre 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • janvier 2016
  • octobre 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • janvier 2015
  • décembre 2014
  • novembre 2014
  • octobre 2014
  • septembre 2014
  • août 2014
  • juin 2014
  • avril 2014
  • mars 2014
  • février 2014
  • janvier 2014
  • novembre 2013
  • octobre 2013
  • septembre 2013
  • août 2013
  • juillet 2013

Mots-clefs

agence littéraire agence littéraire laëns agent littéraire Québec correction de manuscrits correction de manuscrits Québec

Suivez-nous sur Facebook

Suivez-nous sur Facebook

Suivez-nous sur Twitter

Mes Tweets

Nombre de visiteurs

  • 89 159 visites

Flux RSS

RSS Feed RSS - Articles

Le droit d’auteur au Canada

Sites et blogs d'intérêt

  • Actualitté
  • Audrée Wilhelmy
  • Autofiction.org
  • C.N.L.
  • Conseil des Arts du Canada
  • Conseil des Arts et des Lettres du Québec
  • Institut Français
  • Julie lit au lit
  • La cause littéraire
  • Maison des Écrivains et de la Littérature
  • Sophielit
  • U.N.E.Q.

Sites, blogs, chaînes youtube que j'apprécie

  • Alain Cliche
  • Alchimie d'un roman
  • Audrée Wilhelmy
  • BooKalicious
  • Boulevard du VHS
  • Danielle Marcotte
  • France-Amérique
  • Julie lit au lit
  • La grande librairie
  • La librairie francophone
  • Le Passe Mot de Venise
  • Le tiers-livre
  • Les goûters littéraires d'Émilie
  • Lire/ARTV
  • martynepigeon.com
  • Solange te parle
  • Une doyenne, une sorcière et un caniche
Follow this blog
if(typeof(networkedblogs)=="undefined"){networkedblogs={};networkedblogs.blogId=1436152;networkedblogs.shortName="agence-litte\u0301raire-lae\u0308ns";}
wordpress hit counter

Agence

  • Agence Littéraire Laëns

Services

  • Services

Contact

  • Contact

Témoignages

  • Témoignages
  • Témoignages

Propulsé par WordPress.com.

Annuler

 
Chargement des commentaires…
Commentaire
    ×