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Agence Littéraire Laëns

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Agence Littéraire Laëns

Archives de mot-clé : La Presse

Sylvie Brien remporte le Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL 2018

31 mercredi Oct 2018

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités

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Mots-clés

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Sylvie Brien reçoit le prix littéraire des enseignants de français du QuébecC’est avec 16 ans et patriote que Sylvie Brien remporte conjointement avec son éditeur, Bayard Canada, le Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL 2018 dans la catégorie « roman 13 ans et plus ». La cérémonie de remise des prix a eu lieu à la Maison de la littérature le mercredi 31 octobre en présence des membres du conseil d’administration de l’Association des professeurs de français (AQPF), de Gilles Herman, Éditions du Septentrion et membre du conseil d’administration de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL), David Tessier, directeur général, Laurentien, et Stéphane Abraham, directeur régional des ventes – Québec et Maritimes, Rolland.

Les Prix littéraires des enseignants de français visent à promouvoir la littérature québécoise et canadienne de langue française auprès des enseignants de français du Québec, à stimuler leur intérêt pour ces œuvres et à les faire connaître et apprécier par leurs élèves.

16 ans et patriote, un roman de Sylvie Brien

Résumé de l’éditeur : Le 27 juillet 1837, la vie de Marc Campbell, un adolescent de 16 ans habitant à Pointe-aux-Trembles, change pour toujours alors qu’il joint officiellement les rangs des Patriotes. Témoin important des événements qui mèneront aux Rébellions de 1837-1838 dans le Bas-Canada, Marc est incarcéré le 28 janvier 1838, à la prison au Pied-Du-Courant. Isolé des 500 autres Patriotes qui y sont emprisonnés, le garçon angoisse, persuadé qu’il sera bientôt pendu et qu’il ne reverra plus sa famille ni la belle Marie Bazinet.

Quelques échos dans les médias :

04.01.18          SophieLit       « 16 ans et patriote] deviendra sans doute un incontournable pour parler de la rébellion des patriotes. » [Sophie Gagnon, « Défi littéraire « ado » 2018 – janvier »]

Hiver 2018      Lurelu vol. 40 n°3     « Se faire un devoir de mémoire, raconter le passé aux nouvelles générations reste intimement lié aux fondements de la littérature jeunesse. Mais si les grandes guerres, les génocides, le terrorisme, la Nouvelle-France ou les biographies de personnages importants sont des thèmes qui reviennent fréquemment dans le corpus, l’histoire du bas et du Haut-Canada, et plus précisément la révolte des Patriotes, reste encore peu exploitée ici, avec 16 ans et Patriote (…), Sylvie Brien comble cette lacune en racontant avec intelligence et vigueur les heures troubles vécues ici par le plus jeune Patriote, Marc Campbell, emprisonné lors des rebellions de 1837-1838. Au-delà de cette histoire, c’est tout un contexte historique qui est présenté. Sans parti pris pour une langue ou un peuple, elle met en lumière la volonté des Canadiens français d’accéder à la justice et à l’égalité. (…) Jouant sur les contrastes entre l’hiver froid de 1838 et l’automne brûlant de 1837, l’auteure use d’un vocabulaire évocateur, de figures de style et de métaphores qui contribuent à camper l’atmosphère. (…) L’écriture juste de Sylvie Brien, dénuée de jugements, est par ailleurs portée par tout un style riche qui ajoute à l’atmosphère mise en scène et contribue aussi à circonscrire les personnages et les événements. » [Marie Fradette, « La Rébellion de 1837 à hauteur d’adolescent »]

17.12.17          La Presse       « Une histoire inspirée de faits réels qui donne envie de comprendre les enjeux de cette révolte. » [Isabelle Audet, « Livres jeunesse québécois »]

29.10.2017      L’Écho abitibien       « Francs-Maçons, Templiers, camp de détention… aucun sujet n’est tabou pour l’auteure Sylvie Brien, qui jette cette fois-ci son éclairage romanesque sur l’histoire des Patriotes. » [Martin Guindon, « Sylvie Brien jette son éclairage sur les Patriotes »]

11.10.17          SophieLit        « C’est un véritable cours d’histoire qui déboule, intense et fluide, dans une aventure enlevante qui exhale une soif de liberté. Les événements dramatiques se succèdent et interpellent. Et comme pour tout bon récit historique, on sent que l’auteure évite les raccourcis. J’ai d’ailleurs grandement apprécié comment elle refuse catégoriquement le piège de considérer la lutte des Patriotes comme un conflit ethnique ou linguistique; il s’agit d’un combat pour l’autodétermination d’un peuple qui élève l’égalité pour tous au sommet de ses préoccupations. Inspirant! Je souligne aussi les nuances qui [teintent] les croyances politiques de plusieurs personnages ou instances (dont, bien sûr, le clergé). Ce réalisme démontre la complexité des questions sociopolitiques où plusieurs enjeux, comme le bonheur familial et l’engagement social, entrent en vives tensions. Le lecteur peut alors mieux comprendre pourquoi, par exemple, des Canadiens français pouvaient être contre les Patriotes et soutenir les Loyaux.
L’évolution personnelle de Marc Campbell constitue aussi une lecture percutante riche en émotion. (…) Son histoire ajoute une valeur non négligeable au livre en nous permettant une immersion dans une époque où la vie était bien différente (…). Le vocabulaire de l’auteure est d’ailleurs recherché pour mieux décrire la réalité du 19e siècle et le lecteur appréciera ses nombreuses allusions à de petits aspects surprenants de la vie d’antan.(…) Indéniablement, le roman ouvre les lecteurs sur un conflit incontournable qui a façonné notre société. Il donne envie d’approfondir nos connaissances sur les évènements, mais aussi sur certains personnages clés et sur Marc Campbell. » [Jean-François Tremblay, « 16 ans et Patriote ! »]

03.10.2017      Familles d’aujourd’hui        « On ne peut faire autrement que de se sentir interpellé par la cause qu’il a défendue et de lui souhaiter un heureux dénouement. Lorsque le roman se termine, on se prend aussi à souhaiter qu’il connaîtra une suite, ce qui serait fort possible étant donné qu’il ne couvre que la première rébellion des Patriotes. Bravo à l’auteure Sylvie Brien pour nous avoir fait vivre de l’intérieur une période importante de notre histoire nationale! » [Famille Lauzier, « 16 ans et Patriote ! : touchant et intéressant »]

Sylvie Brien, auteure

Sylvie Brien
Cr. Photo : Jean-François O’Kane

Avec Sylvie Brien, tout va deux par deux : elle publie en France et au Canada (24 romans), écrit de l’adulte et du jeunesse, tantôt avec un narrateur masculin, tantôt avec un narrateur féminin, se passionne autant pour l’histoire que pour l’archéologie, s’assure du rythme de sa langue et veille à ce que ses personnages soient attachants, et donne de nombreuses conférences.

Pour écrire, Sylvie Brien s’inspire de reportages télévisés, d’articles de journaux ou de revues. Elle laisse se développer l’idée maîtresse et ses personnages et s’accorde au temps de l’écriture.

Ses livres rencontrent un large public, lui permettent d’être invitée au Salon du livre de Paris, à la semaine Paul-Hurtmans du Centre de Littérature de Bruxelles, d’être présidente d’honneur du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue en 2009 et de la Quinzaine du livre de Lanaudière en 2010, et valent à Sylvie Brien la reconnaissance de ses pairs : lauréate du Prix littéraire des enseignants de français AQPF-ANEL dans la catégorie « roman 13 ans et plus » avec 16 ans et patriote et membre du jury du prix littéraire Bernadette-Renaud en 2018, elle a été, entre autres, finaliste au Prix Paul-Hurtmans en 2010, lauréate des Grands prix Desjardins de la culture Lanaudière 2010 et finaliste au Prix Peuplier en 2017. La Fenêtre maléfique a été sélectionné pour l’événement « Montréal capitale mondiale du livre de l’Unesco. » Ses romans font régulièrement partie des sélections des libraires sur France Info.

 

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©Agence Littéraire Laëns 2018

Mathieu Villeneuve au Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean

25 mardi Sep 2018

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Mots-clés

accompagnement littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire Québec, Éditions La Peuplade, Émilie Perreault, Borealium tremens, Christian Desmeules, David Laporte, direction littéraire, Fabien Deglise, La Presse, Le Devoir, Le Droit, Littérature du Québec, Mario Cloutier, Mathieu Villeneuve, Nuit blanche magazine littéraire, Prix Aurora/Boréal, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, Prix des Horizons imaginaires, Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Rendez-vous du premier roman, Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, séance de dédicace, Valérie Lessard, Yvon Paré

Mathieu Villeneuve, Agence littéraire Laëns

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Du 27 au 30 septembre se tiendra le Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean. À cette occasion, vous aurez le loisir de rencontrer Mathieu Villeneuve (originaire de Chicoutimi) pour son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade.

 

De retour du Festival America, Mathieu Villeneuve offrira plusieurs séances de signatures au salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean:

Jeudi 27 septembre de 19h à 21h

Vendredi 28 septembre de 18h à 20h

Samedi 29 septembre de 13h à 15h

Dimanche 30 septembre de 13h à 15h

Où ? Au kiosque 60 des Éditions La Peuplade

Vous aurez également l’occasion de l’écouter lors d’une entrevue de 15 minutes avec Michel Payette, le samedi 29 septembre, sur la scène « Ville de Saguenay » à 12h25.

 

Borealium tremens, premier roman de Mathieu Villeneuve, publié aux Éditions La Peuplade, Agence littéraire LaënsPour découvrir Borealium tremens et en lire un extrait (.pdf), cliquez sur la couverture du roman.

 

Honneurs et distinctions à ce jour :

Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018

Finaliste au Prix Aurora/Boréal 2018

Finaliste au prix littéraire (catégorie « roman ») du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2018

Finaliste au Prix des Horizons imaginaires 2019

Sélection québécoise des Rendez-vous du premier roman 2018-2019

 

 
MISE À JOUR 28 septembre 2018 : Mathieu Villeneuve a remporté hier soir le Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean dans la catégorie « roman » devant Marie-Christine Bernard pour Polatouches(Stanké) et Lise Tremblay avec L’Habitude des bêtes (Boréal).
 

 

Quelques échos dans les médias :

05.04.2018 : Nuit blanche : « Le Nord de Villeneuve est un lieu déserté, qui semble lui-même victime d’une malédiction. (…) Magnifiquement décrit, le territoire est toujours recouvert d’une fine pellicule de grisaille. À chaque page, les paysages parlent de l’absence et de l’abandon à travers les traces dérisoires que les habitants ont laissées derrière eux ; à chaque page, un décor angoissant de film d’horreur se superpose à la triste réalité de l’exode rural. (…) Œuvre immersive, prophétique et crépusculaire écrite dans une langue vibrante, [Borealium tremens est un] roman de l’anti-terroir dans lequel le travail agricole est pour ainsi dire absent. Villeneuve est un habile prosateur et sa folie bien vite nous obsède. Il nous conduit lentement vers son climax, installe progressivement son atmosphère qui gagne toujours plus en étrangeté. Comme une lente escalade de l’ivresse, le récit s’opacifie puis s’accélère, jusqu’au delirium final où la réalité n’est plus qu’un fil fragile malmené par le délire éthylique. » [David Laporte, « Le délire nordique de Mathieu Villeneuve »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens. (…) Dans ce roman baroque et hallucinant, [David Gagnon] se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural, (…) une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens. Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

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©Agence Littéraire Laëns 2018

Mathieu Villeneuve au Festival America

18 mardi Sep 2018

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Mots-clés

accompagnement littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Canada, Éditions La Peuplade, Émilie Perreault, Baird Harper, Borealium tremens, Brins d'éternité, Brit Bennett, Chicoutimi, Christian Desmeules, Christophe Bernard, coaching d'écriture, correction de manuscrits, David Laporte, direction éditoriale, direction littéraire, Emma Hooper, Fabien Deglise, Festival America, Festival du premier roman de Chambéry, Hari Kunzru, Hubert Artus, Julien Védrenne, L'Écrit primal, la famille en littérature, La femelle du requin, la maison comme personnage, La Presse, Lapsus, L’Artichaut, Le Crachoir de Flaubert, Le Devoir, Le Droit, les mythologies littéraires, Littérature du Québec, Livres Paris, Marie-Hélène Dumas, Mario Cloutier, Mathieu Villeneuve, Nuit blanche magazine littéraire, Patrick deWitt, Phillip Lewis, Prix Aurora/Boréal, Prix d'écriture Damase-Potvin, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, Prix de la nouvelle Solaris, Prix des Horizons imaginaires, Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Rendez-vous du premier roman, Rue Saint-Ambroise, Samuel Archibald, Sandrine Brugot-Maillard, Tara Lennart, Valérie Lessard, Vladimir Hernández, Yvon Paré

Du 20 au 23 septembre se tient à Vincennes le Festival America consacré aux littératures et cultures d’Amérique du Nord. Cette année, le Canada est à l’honneur avec pas moins d’une trentaine d’auteurs invités, dont Mathieu Villeneuve pour son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade.

Festival America 2018

Amis festivaliers, voici vos occasions de rencontrer Mathieu Villeneuve :

Les Scènes : Mythologie(s) samedi 22 septembre 2018 de 12h à 13h

Qu’elle soit personnelle, familiale ou créée de toutes pièces, la mythologie tient une place de choix dans les œuvres de ces trois auteurs. Explication de texte ou « les mythologies, ça sert à quoi en littérature ? » Une discussion animée par Julien Védrenne, avec les auteurs : Christophe Bernard, Patrick deWitt et Mathieu Villeneuve.

Les Grands Débats : M… comme Maison : Home Sweet Home ? samedi 22 septembre 2018 de 14h à 15h

Souvent synonyme d’abri réconfortant et de repos, nous projetons dans notre maison une part non négligeable de nous-mêmes. Nées de la main et de la volonté des hommes, certaines maisons ont une histoire et une présence si fortes qu’elles peuvent prétendre à un rôle de tout premier plan. Quelle est la place de ces lieux dans la fiction contemporaine ? La maison est-elle un personnage comme les autres ? Une table ronde animée par Tara Lennart, avec : Patrick deWitt, Phillip Lewis et Mathieu Villeneuve.

Les Grands Débats : F… comme Famille : Histoire de famille #1 samedi 22 septembre 2018 de 16h à 17h

On dit qu’on ne choisit pas sa famille. En littérature, cette vérité permet à l’écrivain de laisser libre cours à son imagination, multipliant intrigues et personnages. Comment l’auteur orchestre-t-il les hauts et les bas familiaux ? À l’heure des nouvelles parentalités, comment traiter ce sujet dans la fiction ? Pour écrire, s’inspire-t-on de sa propre famille ou de celle des autres ? Un débat animé par Sandrine Brugot-Maillard, avec : Brit Bennett, Baird Harper et Mathieu Villeneuve.

Séance de dédicaces : samedi 22 septembre de 17h à 18h

Les Grands Débats : O… comme Origines : Là d’où je viens samedi 22 septembre 2018 de 18h à 19h

L’écriture prend parfois des allures d’enquête remontant le courant du temps. Que l’on soit à la recherche de ses propres racines ou de celles de ses personnages réels ou fictifs, le travail de l’écrivain s’aventure de fait sur les chemins de la mémoire individuelle et collective. Quels défis lui imposent cette recherche ? Une discussion animée par Marie-Hélène Dumas, avec : Vladimir Hernández, Hari Kunzru et Mathieu Villeneuve.

Séance de dédicaces : dimanche 23 septembre de 11h à 12h

Les Grands Débats : C… comme Communauté : Ce qui nous est commun dimanche 23 septembre 2018 de 17h à 18h

L’humanité a choisi de vivre en groupe, d’interagir et de partager un environnement commun. Il en va en littérature comme dans la société en général : le terme de communauté revêt bien des réalités. Quelle est sa place dans l’univers romanesque contemporain ? Une table ronde animée par Hubert Artus, avec : Baird Harper, Emma Hooper et Mathieu Villeneuve.

Borealium tremens, premier roman de Mathieu Villeneuve, publié aux Éditions La Peuplade, Agence littéraire LaënsPour découvrir Borealium tremens et en lire un extrait (.pdf), cliquez sur la couverture du roman.

 

Honneurs et distinctions à ce jour :

Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018

Finaliste au Prix Aurora/Boréal 2018

Finaliste au prix littéraire (catégorie « roman ») du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2018

Finaliste au Prix des Horizons imaginaires 2019

Sélection québécoise des Rendez-vous du premier roman 2018-2019

 

Quelques échos dans les médias :

05.04.2018 : Nuit blanche : « Le Nord de Villeneuve est un lieu déserté, qui semble lui-même victime d’une malédiction. (…) Magnifiquement décrit, le territoire est toujours recouvert d’une fine pellicule de grisaille. À chaque page, les paysages parlent de l’absence et de l’abandon à travers les traces dérisoires que les habitants ont laissées derrière eux ; à chaque page, un décor angoissant de film d’horreur se superpose à la triste réalité de l’exode rural. (…) Œuvre immersive, prophétique et crépusculaire écrite dans une langue vibrante, [Borealium tremens est un] roman de l’anti-terroir dans lequel le travail agricole est pour ainsi dire absent. Villeneuve est un habile prosateur et sa folie bien vite nous obsède. Il nous conduit lentement vers son climax, installe progressivement son atmosphère qui gagne toujours plus en étrangeté. Comme une lente escalade de l’ivresse, le récit s’opacifie puis s’accélère, jusqu’au delirium final où la réalité n’est plus qu’un fil fragile malmené par le délire éthylique. » [David Laporte, « Le délire nordique de Mathieu Villeneuve »]

05.04.2018 : « Un superbe livre ! L’écriture est dense, humaine et surtout fragile. Des émotions comme les vagues qui frappent les rochers. » [Caroline le Gal, libraire Au vent des mots, Lorient, France]

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. (…) Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. (…) Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même. L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens. (…) Dans ce roman baroque et hallucinant, [David Gagnon] se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural, (…) une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens. Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Mathieu Villeneuve, Agence littéraire Laëns

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

L’auteur : Mathieu Villeneuve est né à Chicoutimi en 1990 au milieu de légendes de vieux chamanes fous, de Ski-Doo qui restent pris dans 15 pieds de neige et de chalets qui disparaissent. Titulaire d’un baccalauréat en études littéraires de l’Université Laval, il termine actuellement son mémoire de maîtrise en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Samuel Archibald, tout en travaillant comme directeur littéraire de la collection policière aux Éditions Tryptique.

Pour écrire, Mathieu Villeneuve s’inspire du territoire, de l’Histoire, des traditions du conte amérindien, de la science-fiction, du roman policier et du fantastique. Ses textes ont été publiés dans La femelle du requin, Rue Saint-Ambroise, Brins d’éternité, L’Artichaut, Le Crachoir de Flaubert, Lapsus et L’écrit primal. En 2007, son tout premier texte de fiction, « L’homme qui possédait une armoire – ou était-ce le contraire? » remporte le 3e Prix d’écriture Damase-Potvin dans la catégorie jeunesse. Rédigée avec Damien Blass-Bouchard, la nouvelle « Attik » paraît dans le no 43 de Brins d’éternité en février 2016 et obtient la 2e place au Prix de la nouvelle Solaris.

Au cours de l’été 2017, financé par les Affaires interprovinciales canadiennes, il effectue une résidence d’écriture à la Maison Gabrielle-Roy, à Saint-Boniface. Son premier roman, Borealium tremens, paraît en août 2017 aux Éditions La Peuplade, vaut à Mathieu Villeneuve de participer à Livres Paris 2018 grâce au financement du Conseil des arts du Canada et remporte un succès tant critique que public.

 

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©Agence Littéraire Laëns 2018

 

Mathieu Villeneuve décroche le prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018 !

29 jeudi Mar 2018

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Mathieu Villeneuve lauréat du prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018

Mathieu Villeneuve à la Maison de la Littérature à Québec (Cr. Photo: Mylène Bouchard)

C’est avec son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade, que Mathieu Villeneuve a remporté ce matin le prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018 pour « la qualité de l’intrigue », « la richesse de l’écriture » et « l’importance accordée à l’intertextualité. » « Comme la batterie de personnages quelque peu hétéroclites qui occupent le territoire du roman, l’écriture, très contemporaine, a charmé les membres du jury, une écriture riche, envoûtante, puissante, d’une belle qualité, qui laisse beaucoup de place à la poésie, aux envolées descriptives du territoire, devenu mythique sous la plume du romancier, et des paysages, une écriture qui ne laisse pas les lecteurs indifférents. »

Un premier prix pour ce roman salué par la critique. Le jury de sélection était composé de M. Aurélien Boivin, professeur émérite de l’Université Laval et président du jury, M. Pierre Blais, journaliste/blogueur, Mme Isabelle Duval, auteure, M. Jean Dumont, libraire et M. Jean-Philippe Marcoux-Fortier, bibliothécaire coordonnateur de la Maison de la littérature. Le dévoilement du prix se déroulait à la Maison de la littérature, à Québec.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens dans les médias :

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence.
Que cherche et que trouvera David, jeune homme de 28 ans en retournant sur la terre de ses ancêtres afin de reconstruire la Maison Brûlée dont il vient d’hériter ? Quel sens donner à ce chantier titanesque, quel sens donner à la terre ? David, dont les parents sont morts durant Le grand déluge de 1996, cherche ici à conjurer le mal et à tenir ses racines. Mais la folie guette, odieuse et survoltée. Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

29.01.2018      Impressions sur livres : « Passé et présent font bon ménage dans la langue de Mathieu Villeneuve. Excellent conteur, fin observateur, sa description des lieux et de toute la région vaut n’importe quelle brochure socio-touristique du coin. On ressent facilement les vents de canicule et ceux d’hiver, les odeurs de terre et d’humidité, la poussière, les sons des oiseaux et de la scierie voisine, tellement qu’on en redemande. (…) Magnifiquement écrit, ce livre contient plusieurs belles idées qui donnent ses lettres de noblesse au Nord inhospitalier où il se déroule. » [Alain, « Borealium tremens, par Mathieu Villeneuve »]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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©Agence Littéraire Laëns 2018

Mathieu Villeneuve à Livre Paris

15 jeudi Mar 2018

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Mathieu Villeneuve

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Mathieu Villeneuve, finaliste du Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018  fait partie des 40 auteurs québécois présents au Salon du livre de Paris du 16 au 18 mars. Il vous y dédicacera son premier roman, Borealium tremens, publié chez La Peuplade.

Où ? À l’emplacement E 45 de Québec Édition.

Quand ? Vendredi 16 mars de 17h à 18h, samedi 17 mars de 18h à 19h et dimanche 18 mars de 16h à 17h.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens dans les médias :

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence.
Que cherche et que trouvera David, jeune homme de 28 ans en retournant sur la terre de ses ancêtres afin de reconstruire la Maison Brûlée dont il vient d’hériter ? Quel sens donner à ce chantier titanesque, quel sens donner à la terre ? David, dont les parents sont morts durant Le grand déluge de 1996, cherche ici à conjurer le mal et à tenir ses racines. Mais la folie guette, odieuse et survoltée. Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

29.01.2018      Impressions sur livres : « Passé et présent font bon ménage dans la langue de Mathieu Villeneuve. Excellent conteur, fin observateur, sa description des lieux et de toute la région vaut n’importe quelle brochure socio-touristique du coin. On ressent facilement les vents de canicule et ceux d’hiver, les odeurs de terre et d’humidité, la poussière, les sons des oiseaux et de la scierie voisine, tellement qu’on en redemande. (…) Magnifiquement écrit, ce livre contient plusieurs belles idées qui donnent ses lettres de noblesse au Nord inhospitalier où il se déroule. » [Alain, « Borealium tremens, par Mathieu Villeneuve »]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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Mathieu Villeneuve au Salon du livre de l’Outaouais

27 mardi Fév 2018

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Mathieu Villeneuve

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Signe que le printemps arrive, le Salon du livre de l’Outaouais ouvre ses portes dans quelques jours. Vous aurez la chance d’y faire dédicacer Borealium tremens par Mathieu Villeneuve, finaliste du Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018.

Où ? Au kiosque 203.

Quand ? Samedi 3 mars de 17h à 19h et dimanche 4 mars de 13h à 15h.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens (Éditions La peuplade) dans les médias :

29.01.2018      Impressions sur livres : « Passé et présent font bon ménage dans la langue de Mathieu Villeneuve. Excellent conteur, fin observateur, sa description des lieux et de toute la région vaut n’importe quelle brochure socio-touristique du coin. On ressent facilement les vents de canicule et ceux d’hiver, les odeurs de terre et d’humidité, la poussière, les sons des oiseaux et de la scierie voisine, tellement qu’on en redemande. (…) Magnifiquement écrit, ce livre contient plusieurs belles idées qui donnent ses lettres de noblesse au Nord inhospitalier où il se déroule. » [Alain, « Borealium tremens, par Mathieu Villeneuve »]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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Mathieu Villeneuve au Salon du livre de Montréal

10 vendredi Nov 2017

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

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Mots-clés

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Mathieu Villeneuve

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Le plus grand événement littéraire d’avant les Fêtes commence dans quelques jours. Au Salon du livre de Montréal, vous aurez la chance de faire dédicacer Borealium tremens par Mathieu Villeneuve, dont on entend beaucoup parler.

Où ? Au kiosque 547.

Quand ? Vendredi 17 novembre de 18h à 20h, samedi 18 novembre de 12h à 14h et dimanche 19 novembre de 11h à 13h.

Vous voulez en savoir plus ? Voici quelques échos de Borealium tremens (Éditions La peuplade) dans les médias :

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens, une épopée où David Gagnon, après avoir hérité d’une terre abandonnée, tente de renouer avec ses ancêtres. Le personnage, dans ce roman baroque et hallucinant, se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Un retour aux sources qui ne se fait pas sans périls. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) La colonisation toute récente de ce coin du Québec a laissé des cicatrices un peu partout. Comme si les « faiseurs de terre » n’avaient pas eu le temps de marquer le territoire de façon durable. J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

30.09.2017      Les Libraires n. 103 : « Alors, pour un premier roman, Mathieu Villeneuve frappe fort ! Le tout se déroule au Lac-Saint-Jean, quelques années après le déluge du Saguenay (c’est important de le mentionner). On assiste au retour dans la région de David Gagnon, après avoir hérité de son grand-oncle d’une maison fantôme qu’il aura pour projet de remettre sur pied pour pouvoir enfin cesser de boire et écrire son livre. Mais rien ne va comme notre protagoniste l’espérait ; un accueil froid du maire de la place, un cousin qui attend son heure pour reprendre ces terres et ces voix qui semblent provenir du passé. Avec des passages déjantés dignes de Peur et dégoût à Las Vegas, vous visiterez la région d’une façon encore jamais vue. Un livre surprenant de la rentrée littéraire. » [Shannon Desbiens]

20.09.2017 CFLX 95.5 : « C’est un premier roman remarquable, c’est un roman sur nos racines, sur ce qui nous construit. C’est écrit sous des teintes de contes et légendes ; ça, ça m’a beaucoup plu. Puis ça inclut quelques beaux clins d’œil sympathiques à quelques-uns de nos classiques littéraires comme Le survenant, Maria Chapdelaine et même La chasse-galerie. (…) On a affaire ici à un jeune écrivain qui va laisser sa marque. Et c’est bien parti avec ce premier roman. » [Billy Robinson, « Le Cochaux show »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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Des échos de Borealium tremens, de Mathieu Villeneuve

13 mercredi Sep 2017

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, On en parle

≈ 2 commentaires

Mots-clés

17 livres québécois essentiels sortis en août, Alexandra Mignault, Alexis Bédard-Fiset, Anne-Marie Gravel, Éditions La Peuplade, Épilogue, Borealium tremens, Chicoutimi, CKIA fm, Fabien Deglise, ICI ARTV, ICI-Saguenay Lac-Saint-Jean, Impact campus, Isabelle Houde, Katherine Raymond, La fabrique culturelle, La Presse, La rentrée littéraire en 10 promesses, La rentrée québécoise en 10 titres, Le Devoir, Le Droit, Le Quotidien, Le Soleil, Les belles feuilles de l'automne, Les Méconnus, les romans incontournables de la rentrée littéraire québécoise, Les travers de la péri-urbanité, Maria Chapdelaine, Mathieu Villeneuve, Maud Lemieux, Nathalie Collard, Olivier Boisvert, P.-A. Buisson, Quoi lire... en 90 secondes, rentrée littéraire, rentrée littéraire québécoise, Revue Les Libraires, roman du terroir, roman québécois, Ton Barbier, Valérie Lessard

Mathieu Villeneuve, Borealium tremens, Éditions La Peuplade, août 2017

Résumé de l’éditeur : David Gagnon veut rénover la Maison brûlée, dont il hérite à la mort de son grand-oncle, une maison-fantôme comme les autres dans le fond d’un rang de Saint-Christophe-de-la-Traverse. Il veut aussi y cultiver la terre et y terminer son roman, malgré les menaces d’expropriation, les voix qui vibrent, les hallucinations, les racines qui gagnent du terrain, les tiques et l’hiver féroce. Engoncé dans son tombeau de bois pourri, dans l’alcool et dans les archives de sa famille, le jeune écrivain est appelé à accomplir la prophétie sauvage, celle qui avait autrefois animé Auguste et plusieurs autres avant lui, et qui animera ceux qui ne sont pas encore nés.

Lire un extrait

10.09.17          Épilogue — CKIA fm : « On sent l’héritage littéraire de Mathieu Villeneuve (…) qui fait un bel éloge de Maria Chapdelaine : (…) une écriture très maîtrisée, [des] personnages très colorés, (…) un roman ambitieux pour un premier roman, un bon souffle, un bon ton, un titre à surveiller. » [Maud Lemieux]

 

09.09.17          ICI-Saguenay Lac-Saint-Jean : « Borealium tremens de Mathieu Villeneuve publié à La Peuplade est le roman québécois qui m’a le plus plu en ce début de rentrée littéraire. C’est un roman écrit avec une justesse de ton, c’est très, très incarné, c’est très ancré dans le territoire. (…) C’est un grand roman qu’il faut lire, perché sur une branche (…) ; je le conseille à tout le monde qui s’intéresse à la mythologie saguenéenne ou à la littérature en tant que telle. » [Olivier Boisvert — Quoi lire… en 90 secondes]

 

09.09.17 : Le Soleil : « Pourquoi ça promet : Un thème qui revient de plus en plus chez une nouvelle génération d’écrivains, ce « roman du terroir » nouveau genre où des jeunes font un retour à la terre, aigris par la ville. Mais la campagne remplit rarement ses promesses. Curieuse de voir la proposition de Mathieu Villeneuve, jeune auteur de 27 ans originaire de Chicoutimi, « descendant de bûcherons et de paysans. » [Isabelle Houde — « La rentrée littéraire en 10 promesses »]

 

06.09.17          La Presse : « Quand un jeune homme hérite de la maison de son grand-oncle, tout peut arriver. Un récit dont l’action est campée dans la belle nature saguenéenne, et qui nous parle des effets du développement urbain sur l’environnement et sur les humains. » [Nathalie Collard — « Rentrée littéraire : guide de survie »]

 

04.09.17          Impact campus : « Un premier roman attendu — Borealium Tremens [La Peuplade], de Mathieu Villeneuve, est en magasin depuis le 29 août dernier. Le diplômé du Baccalauréat en études littéraires de l’Université Laval ravive la flamme du roman du terroir en proposant une histoire alliant notamment hallucinations et secrets familiaux. Le protagoniste, un jeune auteur, hérite d’une vieille maison nichée dans un rang bien reculé; alors qu’il tente de boucler son roman, il se heurte à diverses embûches, dont des menaces d’expropriation, un hiver rigoureux et la découverte d’une prophétie. » [Alexis Bédard-Fiset]

04.09.17          Les méconnus : « L’auteur, dans son premier roman, propose de réinventer le roman du terroir ce qui n’est pas un mince pari et ne manque pas d’attiser la curiosité. » [Katherine Raymond, « La rentrée québécoise en 10 titres »]

02.09.17          Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, lui, a préféré convoquer les fantômes du passé dans cette recherche de vérité à laquelle va se prêter David Gagnon sur les terres familiales de Saint-Christophe-de-la-Traverse. Il a hérité d’une maison qu’il va rénover dans l’espoir d’y cultiver la terre autour et d’y finir l’écriture d’un roman à l’intérieur. Borealium tremens (La Peuplade), roman du terroir réinventé (…) relate son aventure où la cocaïne, l’alcool et la menace d’expropriation vont faire émerger des voix du passé pour éclairer un peu ses préoccupations du présent. » [Fabien Deglise, « Dans toute la complexité du « nous », cahier F « Les belles feuilles de l’automne »]

 

02.09.17          Le quotidien : « Borealium tremens, le premier roman de Mathieu Villeneuve, originaire de Rimouski, risque de susciter beaucoup d’intérêt. » [Anne-Marie Gravel]

 

31.08.17          ICI ARTV : « Un premier roman intrigant ! » (in Les romans incontournables de la rentrée littéraire québécoise)

 

29.08.17          Ton barbier : « Nous n’avons vraisemblablement pas fini d’être surpris, saison après saison, par les chicoutimiens de La Peuplade. On nous propose ici une première œuvre délirante, un roman de la terre revisité au parfum d’essence, de bois brûlé et de cocaïne. David, anti-héros dépressif et rarement sobre, hérite de la « Maison brûlée », une bâtisse familiale sise au fond d’un rang de Saint-Christophe-de-la-Traverse. Il décide de s’y installer et de la rénover avec son frère et une amie d’enfance, et sombrera lentement mais sûrement dans un abysse d’alcool et de maladie mentale. » [P.-A. Buisson — 17 livres québécois essentiels sortis en août]

 

28.08.17          La fabrique culturelle : « Mathieu Villeneuve nous offre une magistrale fable sur la solitude, la folie et le poids de nos origines. À lire dès que possible ! » [Lecture #LaFab : 5 livres en août]

28.08.17          Revue Les Libraires : « Un récit envoûtant et dépaysant : voilà une proposition audacieuse pour un premier roman. » [Alexandra Mignault— « Rentrée 2017 : Littérature québécoise »]

25.08.17          Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan.

Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent.

Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard— « Les travers de la péri-urbanité »]

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