Mots-clés
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L’Institut canadien-français d’Ottawa (ICFO) invite le public à son Carrefour d’écrivains et d’écrivaines (87 rue York, Ottawa), le dimanche 2 septembre 2018, de 11h à 15h30. Gabriel Osson, auteur de Hubert, le restavèk, fait partie de la vingtaine d’écrivains qui seront sur place pour présenter leurs livres, signer des dédicaces et discuter avec les bibliophiles et les futurs auteurs.
À 13h15, Gabriel Osson (lecture) et Daniel Groleau-Landry (poésie et guitare) uniront leurs talents pour vous offrir des lectures musicales.
À 14h, Éric Charlebois, André Charlebois, Tina Charlebois et Gabriel Osson animeront une table ronde sur la poésie : « Et si le cœur avait son cortex? » On évoque souvent les auteures et auteurs de la relève; mais qu’en est-il du public de la relève ? Quels sont les enjeux en fonction desquels et les moyens par lesquels on peut permettre l’incursion de la poésie dans la salle de classe et auprès d’un grand public qui connaît peu le genre ? Inversement, comment le jeune public et le nouveau public, en pleine quête identitaire à plusieurs égards et en quête d’appartenance, peuvent-il accéder à la poésie ?
À propos de l’auteur : Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, il anime l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures se retrouvent dans des collections privées au Canada, en France et aux États-Unis. Gabriel Osson siège aussi au conseil d’administration de Trees That Feed, un organisme voué à la plantation d’arbres fruitiers dans les Caraïbes et certains pays d’Afrique. Depuis le 9 juin dernier, il est aussi président de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario français (l’AAOF).
Après deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017 et l’amène à parcourir l’Ontario, le fait inviter au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…
Quelques échos dans les médias :
22.06.2017 Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]
06.05.2017 Bookivores « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]
30.04.2017 Les chroniques de Passy « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]
17.04.2017 Les mille et une pages de LM « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]
11.04.2017 L’express « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]
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