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Agence Littéraire Laëns

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Agence Littéraire Laëns

Archives de mot-clé : Nuit blanche magazine littéraire

Gabriel Osson de retour au Salon du livre de l’Outaouais

25 lundi Fév 2019

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Agenda

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Mots-clés

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Le salon du livre de l’Outaouais accueille petits et grands au Palais des congrès de Gatineau du 28 février au 3 mars pour la 40e année consécutive! À cette occasion, Gabriel Osson, auteur de Hubert, Le restavèk, publié aux Éditions David, rencontrera ses lecteurs lors de séances de signature.

Quand ? Le 28 février de 17h à 19h au kiosque 101 de l’AAOF et de 20h à 21h au kiosque 501 du RECF.

Le 1er mars de 14h à 15h au kiosque 501 du RECF, de 15h à 16h et de 17h à 18h au kiosque 101 de l’AAOF.

Le 3 mars de 16h à 17h au kiosque 101 de l’AAOF.

Gabriel Osson

À propos de l’auteur :            Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, il anime l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures se retrouvent dans des collections privées au Canada, en France et aux États-Unis. Gabriel Osson siège aussi au conseil d’administration de Trees That Feed, un organisme voué à la plantation d’arbres fruitiers dans les Caraïbes et certains pays d’Afrique. Depuis le 9 juin dernier, il est aussi président de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario français (l’AAOF).

Agence littéraire LaënsGabriel Osson, Hubert le restavèk

Après deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017 et l’amène à parcourir l’Ontario, le fait inviter au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…

Extrait

Quelques échos dans les médias :

22.06.2017      Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]

06.05.2017      Bookivores     « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]

30.04.2017      Les chroniques de Passy      « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]

17.04.2017     Les mille et une pages de LM     « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]

11.04.2017      L’express     « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]

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©Agence Littéraire Laëns 2019

Mathieu Villeneuve au Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean

25 mardi Sep 2018

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Mots-clés

accompagnement littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire Québec, Éditions La Peuplade, Émilie Perreault, Borealium tremens, Christian Desmeules, David Laporte, direction littéraire, Fabien Deglise, La Presse, Le Devoir, Le Droit, Littérature du Québec, Mario Cloutier, Mathieu Villeneuve, Nuit blanche magazine littéraire, Prix Aurora/Boréal, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, Prix des Horizons imaginaires, Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Rendez-vous du premier roman, Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, séance de dédicace, Valérie Lessard, Yvon Paré

Mathieu Villeneuve, Agence littéraire Laëns

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

Du 27 au 30 septembre se tiendra le Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean. À cette occasion, vous aurez le loisir de rencontrer Mathieu Villeneuve (originaire de Chicoutimi) pour son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade.

 

De retour du Festival America, Mathieu Villeneuve offrira plusieurs séances de signatures au salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean:

Jeudi 27 septembre de 19h à 21h

Vendredi 28 septembre de 18h à 20h

Samedi 29 septembre de 13h à 15h

Dimanche 30 septembre de 13h à 15h

Où ? Au kiosque 60 des Éditions La Peuplade

Vous aurez également l’occasion de l’écouter lors d’une entrevue de 15 minutes avec Michel Payette, le samedi 29 septembre, sur la scène « Ville de Saguenay » à 12h25.

 

Borealium tremens, premier roman de Mathieu Villeneuve, publié aux Éditions La Peuplade, Agence littéraire LaënsPour découvrir Borealium tremens et en lire un extrait (.pdf), cliquez sur la couverture du roman.

 

Honneurs et distinctions à ce jour :

Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018

Finaliste au Prix Aurora/Boréal 2018

Finaliste au prix littéraire (catégorie « roman ») du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2018

Finaliste au Prix des Horizons imaginaires 2019

Sélection québécoise des Rendez-vous du premier roman 2018-2019

 

 
MISE À JOUR 28 septembre 2018 : Mathieu Villeneuve a remporté hier soir le Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean dans la catégorie « roman » devant Marie-Christine Bernard pour Polatouches(Stanké) et Lise Tremblay avec L’Habitude des bêtes (Boréal).
 

 

Quelques échos dans les médias :

05.04.2018 : Nuit blanche : « Le Nord de Villeneuve est un lieu déserté, qui semble lui-même victime d’une malédiction. (…) Magnifiquement décrit, le territoire est toujours recouvert d’une fine pellicule de grisaille. À chaque page, les paysages parlent de l’absence et de l’abandon à travers les traces dérisoires que les habitants ont laissées derrière eux ; à chaque page, un décor angoissant de film d’horreur se superpose à la triste réalité de l’exode rural. (…) Œuvre immersive, prophétique et crépusculaire écrite dans une langue vibrante, [Borealium tremens est un] roman de l’anti-terroir dans lequel le travail agricole est pour ainsi dire absent. Villeneuve est un habile prosateur et sa folie bien vite nous obsède. Il nous conduit lentement vers son climax, installe progressivement son atmosphère qui gagne toujours plus en étrangeté. Comme une lente escalade de l’ivresse, le récit s’opacifie puis s’accélère, jusqu’au delirium final où la réalité n’est plus qu’un fil fragile malmené par le délire éthylique. » [David Laporte, « Le délire nordique de Mathieu Villeneuve »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens. (…) Dans ce roman baroque et hallucinant, [David Gagnon] se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural, (…) une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens. Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

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©Agence Littéraire Laëns 2018

Mathieu Villeneuve au Festival America

18 mardi Sep 2018

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Mots-clés

accompagnement littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Canada, Éditions La Peuplade, Émilie Perreault, Baird Harper, Borealium tremens, Brins d'éternité, Brit Bennett, Chicoutimi, Christian Desmeules, Christophe Bernard, coaching d'écriture, correction de manuscrits, David Laporte, direction éditoriale, direction littéraire, Emma Hooper, Fabien Deglise, Festival America, Festival du premier roman de Chambéry, Hari Kunzru, Hubert Artus, Julien Védrenne, L'Écrit primal, la famille en littérature, La femelle du requin, la maison comme personnage, La Presse, Lapsus, L’Artichaut, Le Crachoir de Flaubert, Le Devoir, Le Droit, les mythologies littéraires, Littérature du Québec, Livres Paris, Marie-Hélène Dumas, Mario Cloutier, Mathieu Villeneuve, Nuit blanche magazine littéraire, Patrick deWitt, Phillip Lewis, Prix Aurora/Boréal, Prix d'écriture Damase-Potvin, Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018, Prix de la nouvelle Solaris, Prix des Horizons imaginaires, Prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Rendez-vous du premier roman, Rue Saint-Ambroise, Samuel Archibald, Sandrine Brugot-Maillard, Tara Lennart, Valérie Lessard, Vladimir Hernández, Yvon Paré

Du 20 au 23 septembre se tient à Vincennes le Festival America consacré aux littératures et cultures d’Amérique du Nord. Cette année, le Canada est à l’honneur avec pas moins d’une trentaine d’auteurs invités, dont Mathieu Villeneuve pour son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade.

Festival America 2018

Amis festivaliers, voici vos occasions de rencontrer Mathieu Villeneuve :

Les Scènes : Mythologie(s) samedi 22 septembre 2018 de 12h à 13h

Qu’elle soit personnelle, familiale ou créée de toutes pièces, la mythologie tient une place de choix dans les œuvres de ces trois auteurs. Explication de texte ou « les mythologies, ça sert à quoi en littérature ? » Une discussion animée par Julien Védrenne, avec les auteurs : Christophe Bernard, Patrick deWitt et Mathieu Villeneuve.

Les Grands Débats : M… comme Maison : Home Sweet Home ? samedi 22 septembre 2018 de 14h à 15h

Souvent synonyme d’abri réconfortant et de repos, nous projetons dans notre maison une part non négligeable de nous-mêmes. Nées de la main et de la volonté des hommes, certaines maisons ont une histoire et une présence si fortes qu’elles peuvent prétendre à un rôle de tout premier plan. Quelle est la place de ces lieux dans la fiction contemporaine ? La maison est-elle un personnage comme les autres ? Une table ronde animée par Tara Lennart, avec : Patrick deWitt, Phillip Lewis et Mathieu Villeneuve.

Les Grands Débats : F… comme Famille : Histoire de famille #1 samedi 22 septembre 2018 de 16h à 17h

On dit qu’on ne choisit pas sa famille. En littérature, cette vérité permet à l’écrivain de laisser libre cours à son imagination, multipliant intrigues et personnages. Comment l’auteur orchestre-t-il les hauts et les bas familiaux ? À l’heure des nouvelles parentalités, comment traiter ce sujet dans la fiction ? Pour écrire, s’inspire-t-on de sa propre famille ou de celle des autres ? Un débat animé par Sandrine Brugot-Maillard, avec : Brit Bennett, Baird Harper et Mathieu Villeneuve.

Séance de dédicaces : samedi 22 septembre de 17h à 18h

Les Grands Débats : O… comme Origines : Là d’où je viens samedi 22 septembre 2018 de 18h à 19h

L’écriture prend parfois des allures d’enquête remontant le courant du temps. Que l’on soit à la recherche de ses propres racines ou de celles de ses personnages réels ou fictifs, le travail de l’écrivain s’aventure de fait sur les chemins de la mémoire individuelle et collective. Quels défis lui imposent cette recherche ? Une discussion animée par Marie-Hélène Dumas, avec : Vladimir Hernández, Hari Kunzru et Mathieu Villeneuve.

Séance de dédicaces : dimanche 23 septembre de 11h à 12h

Les Grands Débats : C… comme Communauté : Ce qui nous est commun dimanche 23 septembre 2018 de 17h à 18h

L’humanité a choisi de vivre en groupe, d’interagir et de partager un environnement commun. Il en va en littérature comme dans la société en général : le terme de communauté revêt bien des réalités. Quelle est sa place dans l’univers romanesque contemporain ? Une table ronde animée par Hubert Artus, avec : Baird Harper, Emma Hooper et Mathieu Villeneuve.

Borealium tremens, premier roman de Mathieu Villeneuve, publié aux Éditions La Peuplade, Agence littéraire LaënsPour découvrir Borealium tremens et en lire un extrait (.pdf), cliquez sur la couverture du roman.

 

Honneurs et distinctions à ce jour :

Prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018

Finaliste au Prix Aurora/Boréal 2018

Finaliste au prix littéraire (catégorie « roman ») du Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2018

Finaliste au Prix des Horizons imaginaires 2019

Sélection québécoise des Rendez-vous du premier roman 2018-2019

 

Quelques échos dans les médias :

05.04.2018 : Nuit blanche : « Le Nord de Villeneuve est un lieu déserté, qui semble lui-même victime d’une malédiction. (…) Magnifiquement décrit, le territoire est toujours recouvert d’une fine pellicule de grisaille. À chaque page, les paysages parlent de l’absence et de l’abandon à travers les traces dérisoires que les habitants ont laissées derrière eux ; à chaque page, un décor angoissant de film d’horreur se superpose à la triste réalité de l’exode rural. (…) Œuvre immersive, prophétique et crépusculaire écrite dans une langue vibrante, [Borealium tremens est un] roman de l’anti-terroir dans lequel le travail agricole est pour ainsi dire absent. Villeneuve est un habile prosateur et sa folie bien vite nous obsède. Il nous conduit lentement vers son climax, installe progressivement son atmosphère qui gagne toujours plus en étrangeté. Comme une lente escalade de l’ivresse, le récit s’opacifie puis s’accélère, jusqu’au delirium final où la réalité n’est plus qu’un fil fragile malmené par le délire éthylique. » [David Laporte, « Le délire nordique de Mathieu Villeneuve »]

05.04.2018 : « Un superbe livre ! L’écriture est dense, humaine et surtout fragile. Des émotions comme les vagues qui frappent les rochers. » [Caroline le Gal, libraire Au vent des mots, Lorient, France]

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. (…) Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. (…) Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même. L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens. (…) Dans ce roman baroque et hallucinant, [David Gagnon] se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural, (…) une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens. Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Mathieu Villeneuve, Agence littéraire Laëns

Cr. Ph. : Sophie Gagnon-Bergeron

L’auteur : Mathieu Villeneuve est né à Chicoutimi en 1990 au milieu de légendes de vieux chamanes fous, de Ski-Doo qui restent pris dans 15 pieds de neige et de chalets qui disparaissent. Titulaire d’un baccalauréat en études littéraires de l’Université Laval, il termine actuellement son mémoire de maîtrise en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Samuel Archibald, tout en travaillant comme directeur littéraire de la collection policière aux Éditions Tryptique.

Pour écrire, Mathieu Villeneuve s’inspire du territoire, de l’Histoire, des traditions du conte amérindien, de la science-fiction, du roman policier et du fantastique. Ses textes ont été publiés dans La femelle du requin, Rue Saint-Ambroise, Brins d’éternité, L’Artichaut, Le Crachoir de Flaubert, Lapsus et L’écrit primal. En 2007, son tout premier texte de fiction, « L’homme qui possédait une armoire – ou était-ce le contraire? » remporte le 3e Prix d’écriture Damase-Potvin dans la catégorie jeunesse. Rédigée avec Damien Blass-Bouchard, la nouvelle « Attik » paraît dans le no 43 de Brins d’éternité en février 2016 et obtient la 2e place au Prix de la nouvelle Solaris.

Au cours de l’été 2017, financé par les Affaires interprovinciales canadiennes, il effectue une résidence d’écriture à la Maison Gabrielle-Roy, à Saint-Boniface. Son premier roman, Borealium tremens, paraît en août 2017 aux Éditions La Peuplade, vaut à Mathieu Villeneuve de participer à Livres Paris 2018 grâce au financement du Conseil des arts du Canada et remporte un succès tant critique que public.

 

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©Agence Littéraire Laëns 2018

 

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Gabriel Osson au Carrefour d’écrivains et d’écrivaines

29 mercredi Août 2018

Mots-clés

agence littéraire laëns, agent littéraire Canada, André Charlebois, Association des Auteures et Auteurs de l'Ontario français, Éditions David, Éric Charlebois, Carrefour d’écrivains et d’écrivaines, Compostelle, Daniel Groleau-Landry, David Lonergan, Efflorescences, Envolées, Gabriel Osson, Hubert le restavèk, ICFO, J'ai marché sur les étoiles, L'express, L’Institut canadien-français d’Ottawa, Nuit blanche magazine littéraire, Paul-François Sylvestre, prix Christine-Dumitriu-van-Saanen, séance de dédicace, table ronde, Tina Charlebois

L’Institut canadien-français d’Ottawa (ICFO) invite le public à son Carrefour d’écrivains et d’écrivaines (87 rue York, Ottawa), le dimanche 2 septembre 2018, de 11h à 15h30. Gabriel Osson, auteur de Hubert, le restavèk, fait partie de la vingtaine d’écrivains qui seront sur place pour présenter leurs livres, signer des dédicaces et discuter avec les bibliophiles et les futurs auteurs.

À 13h15, Gabriel Osson (lecture) et Daniel Groleau-Landry (poésie et guitare) uniront leurs talents pour vous offrir des lectures musicales.

À 14h, Éric Charlebois, André Charlebois, Tina Charlebois et Gabriel Osson animeront une table ronde sur la poésie : « Et si le cœur avait son cortex? » On évoque souvent les auteures et auteurs de la relève; mais qu’en est-il du public de la relève ? Quels sont les enjeux en fonction desquels et les moyens par lesquels on peut permettre l’incursion de la poésie dans la salle de classe et auprès d’un grand public qui connaît peu le genre ? Inversement, comment le jeune public et le nouveau public, en pleine quête identitaire à plusieurs égards et en quête d’appartenance, peuvent-il accéder à la poésie ?

Gabriel OssonÀ propos de l’auteur :            Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, il anime l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures se retrouvent dans des collections privées au Canada, en France et aux États-Unis. Gabriel Osson siège aussi au conseil d’administration de Trees That Feed, un organisme voué à la plantation d’arbres fruitiers dans les Caraïbes et certains pays d’Afrique. Depuis le 9 juin dernier, il est aussi président de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario français (l’AAOF).

Agence littéraire LaënsAprès deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017 et l’amène à parcourir l’Ontario, le fait inviter au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…

Extrait

 

Quelques échos dans les médias :

22.06.2017      Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]

06.05.2017      Bookivores     « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]

30.04.2017      Les chroniques de Passy      « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]

17.04.2017     Les mille et une pages de LM     « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]

11.04.2017      L’express     « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]

 

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Gabriel Osson élu président de l’AAOF

11 lundi Juin 2018

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Gabriel Osson, président de l'AAOF

Lors de l’Assemblée générale annuelle du samedi 9 juin, Gabriel Osson a été élu président de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario français (l’AAOF) pour deux ans.

 Qu’est-ce que l’AAOF? L’Association des auteures et auteurs de l’Ontario français interagit avec le milieu artistique et culturel, de même qu’avec les élus, ministères, agences gouvernementales et organismes poursuivant des objectifs de nature à favoriser ses membres et leurs œuvres afin de bâtir un secteur littéraire plus fort. Au besoin, elle se fait porte-parole pour s’assurer que ses membres et leurs écrits sont reconnus à leur juste valeur.

            Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, il anime l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures se retrouvent dans des collections privées au Canada, en France et aux États-Unis. Gabriel Osson siège aussi au conseil d’administration de Trees That Feed, un organisme voué à la plantation d’arbres fruitiers dans les Caraïbes et certains pays d’Afrique.

Après deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017 et l’amène à parcourir l’Ontario, le fait inviter au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…

 

Extrait

 

 

Quelques échos dans les médias :

22.06.2017      Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]

06.05.2017      Bookivores     « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]

30.04.2017      Les chroniques de Passy      « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]

17.04.2017     Les mille et une pages de LM     « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]

11.04.2017      L’express     « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]

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Dansez sur les mots avec Gabriel Osson

07 samedi Avr 2018

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AAOF, agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire, agent littéraire Canada, agent littéraire Québec, Alliance française de Toronto, AM Matte, Association des Auteures et Auteurs de l'Ontario français, ateliers d'écriture, Éditions David, Bookivores, CHOQ Fm 105.1, Danser sur les mots, David Lonergan, Didier Leclair, Efflorescences, Envolées, Franco Découvertes, Gabriel Osson, Haïti, Hubert le restavèk, J'ai marché sur les étoiles, Journée mondiale du livre et du droit d'auteur, L'express, Les chroniques de Passy, Les mille et une pages de LM, Martine Lévesque, Miss Dupont, Mordus des mots, Nafée Faïgou, Nuit blanche magazine littéraire, Paul Savoie, Paul-François Sylvestre, Port-au-Prince, prix Christine-Dumitriu-van-Saanen

gabriel-danserFinaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen avec son premier roman, Hubert le restavèk, publié aux Éditions David, Gabriel Osson vous invite à fêter la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur de 18 h à 20 h le 21 avril prochain à la Galerie Pierre-Léon de l’Alliance française de Toronto.

La soirée Danser sur les mots se déclinera en deux parties : après une conférence et une discussion sur les droits d’auteur, les danseuses de la troupe ADDYDANSE offriront un spectacle sur les textes lus de Nafée Faïgou, Didier Leclair, AM Matte, Gabriel Osson, Paul Savoie et Paul-François Sylvestre. Une soirée de littérature vivante à ne pas manquer.

À propos de Gabriel Osson :

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Gabriel Osson (Cr. Ph. : Christine Bérubé)

Gabriel Osson est poète et romancier. Né à Port-au-Prince (Haïti), il vit à Toronto. Il donne des conférences et anime des ateliers d’écriture pour différents publics, que ce soient des retraités ou des jeunes du secondaire dans les écoles de langue française en Ontario lors de la tournée Mordus des mots. Très impliqué dans la francophonie torontoise, Gabriel siège au conseil d’administration de l’Association des Auteures et Auteurs de l’Ontario Français (AAOF) et du collectif d’artistes ontarien BRAVO-Sud. Il anime aussi l’émission hebdomadaire Franco Découvertes à la radio francophone de Toronto, CHOQ FM 105.1. Ses peintures et sculptures sont exposées dans plusieurs galeries d’art.

            Après deux recueils de poésie, Efflorescences et Envolées, il publie J’ai marché sur les étoiles _ Sept leçons apprises sur le chemin de Compostelle, un récit poétique qui relate son expérience du Camino. Son premier roman, Hubert, le restavèk, publié aux Éditions David lui vaut d’être finaliste au prix Christine-Dumitriu-van-Saanen en 2017. C’est en regardant un documentaire à la télévision que Gabriel Osson, interpellé par le sort de ces enfants, décide d’écrire Hubert, le restavèk. « Avec mes souvenirs personnels, les discussions que j’ai pu entretenir avec mes amis haïtiens et des recherches sur Internet, j’ai découvert que ce phénomène existait toujours. En 2013, on comptait 400 000 enfants restavèk en Haïti, » déplore l’auteur[1]. « Mon rêve, c’est de vendre un livre pour chaque enfant restavèk. » Ce premier roman amène Gabriel Osson à parcourir l’Ontario et lui vaut d’être invité au Salon du livre de Bruxelles, à Paris, Haïti, au Québec…

hubert-le-restavek-2Quatrième de couverture : « Le bateau quitte lentement le quai de Jérémie. J’ai le cœur qui débat, gros dans ma poitrine. Les larmes roulent sur mes joues. La taille de ma mère s’amenuise de plus en plus, pour ne plus devenir qu’un petit point à l’horizon. Je reste là à l’arrière du bateau fixant ce point jusqu’à ce qu’il disparaisse tout à fait de mon champ de vision. Je suis en route pour une nouvelle aventure dont je rêve depuis des mois, mais je suis tout de même angoissé devant l’inconnu.

Après une nuit mouvementée en mer, je suis arrivé à Port-au-Prince en provenance de ma ville natale, une petite ville du sud. Le quai de débarquement, où je me trouve, si on peut l’appeler ainsi, est juste à côté du marché de charbon qui, sans le savoir, allait changer ma vie.

L’histoire qui suit est la mienne et pourrait être celle de milliers de jeunes envoyés par leurs familles pour vivre avec un parent, qui un oncle, une tante, une marraine dans la capitale ou pour être placés comme dans mon cas dans une famille, comme garçon à tout faire ou comme on nous appelle ici : un restavèk (reste avec). »

Il existerait en Haïti près de 400 000 restavèks. Ces enfants, victimes d’abus de toutes sortes, sont maintenus dans un état proche de l’esclavage. Haïtien émigré à Toronto, Gabriel Osson raconte ici l’histoire bouleversante de l’un d’eux.

Quelques échos dans les médias :

22.06.17      Nuit blanche « Le récit a toutes les apparences de la réalité. On comprend alors que l’auteur prenne la peine d’écrire que « même si les faits relatés sont basés sur la réalité », les personnages sont fictifs. De plus, tous les droits d’auteur seront remis à deux organisations venant en aide aux restavèks. La volonté est nettement sociale, la littérature étant au service de la cause. Le récit n’en est pas moins captivant : Gabriel Osson brosse un portrait sensible et vivant d’une société aux prises avec des problèmes qui semblent insolubles, mais auxquels certains, comme Hubert, Maria-Helena et d’autres autour d’eux, s’attaquent avec détermination. » [David Lonergan]

06.05.17      Bookivores     « Bien que le sujet puisse s’apparenter à une soirée orageuse plutôt qu’à un après-midi ensoleillé, ce livre se laisse dévorer en raison de la plume magnifique et colorée de l’auteur. Et Hubert!! Ce jeune garçon est si attachant et démontre une telle grandeur d’âme, qu’on désire rester à ses côtés à travers les pages… le prendre sous notre aile. » [Miss Dupont]

30.04.2017      Les chroniques de Passy      « J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur que j’ai trouvée très réaliste sans en faire de trop. La lecture de ce livre a été très addictive, car je voulais découvrir ce qui allait arriver à Hubert que j’avais pris en affection. » [Pascale]

17.04.2017     Les mille et une pages de LM             « Ce roman est un coup-de-poing, plutôt un coup de cœur. (…) Je vous conseille de lire le roman de Gabriel Osson. Je ferme mon livre en ayant un petit serrement dans la gorge. » [Martine Lévesque]

11.04.2017        L’express             « Le roman regorge de mots, expressions ou phrases en créole. Un manje kwit est un mets préparé d’avance et prêt à emporter. Les tiouls sont des gigolos. Les masisis et les madivinèses sont respectivement les gays et les lesbiennes. Bon Dye bon veut dire Dieu est bon. Ou tande mwen signifie Tu m’entends. He, ti-gason, leve, chef la vle pale avèk ou veut dire Lève-toi garçon, le chef veut te parler. Le style de Gabriel Osson est direct et parfois incisif. Il excelle dans l’art de décrire des situations difficiles. Les mauvais traitements subis par ti-Ibè en sont un bel exemple, tout comme les quelques pages consacrées au tremblement de terre. » [Paul-François Sylvestre]

Pour lire un extrait, cliquez ici

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[1] Gabriel Osson verse l’intégralité de ses droits d’auteur de Hubert, le restavèk à deux organismes : la fondation Maurice A. Sixto et l’association Respire Haïti.

Mathieu Villeneuve au Salon international du livre de Québec

05 jeudi Avr 2018

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Composition-SILQ-prixLe Salon international du livre de Québec s’annonce foisonnant pour l’auteur Mathieu Villeneuve. Du vendredi 13 avril au dimanche 15, vous aurez plusieurs occasions de rencontrer le lauréat du prix de création littéraire BDQ-SILQ 2018 pour son premier roman, Borealium tremens, publié aux Éditions La Peuplade.

Vendredi 13 avril :

À 11h, Claudia Larochelle recevra Mathieu Villeneuve, entouré de Marie-Christine Bernard et de Lynda Dion, pour une « rencontre d’auteurs » sur la scène Radio-Canada.  Durée : 25 minutes.

De 11h 30 à 13h, Mathieu Villeneuve vous offrira ses prescriptions littéraires à la Terrasse des libraires.

À 17h, Claudia Larochelle recevra Mathieu Villeneuve, Christophe Bernard, Kevin Lambert et Lise Tremblay pour une table ronde : « Le terroir revisité : amour, haine et racines » sur la scène des Rendez-vous littéraires. Durée : 55 minutes.

De 18h à 20h, Mathieu Villeneuve dédicacera Borealium tremens au kiosque 82 des Éditions La Peuplade (Espace Dimédia).

Samedi 14 avril :

À 18h, Mylène Brunet de la Librairie Pantoute animera la causerie : « La fin du monde est à 7 heures : l’apocalypse en terre Québec » à la Terrasse des libraires, foyer 4. Cantonnée longtemps à un simple sous-genre de la science-fiction, la dystopie fait de plus en plus parler d’elle, au point où plusieurs œuvres post-apocalyptiques profitent désormais d’un statut iconique (La servante écarlate, La route, la série « Mad Max », Blade Runner, etc.). Si cela est particulièrement vrai pour l’industrie cinématographique, la littérature n’est pas en reste, y compris la littérature québécoise. Mylène Brunet tentera de cerner comment, la dystopie et le récit apocalyptique s’articulent dans le corpus littéraire québécois avec les auteurs Mathieu Villeneuve et Karolyne Georges. Une présentation des Librairies indépendantes du Québec (LIQ). Durée : 60 minutes.

Dimanche 15 avril :

De 15h à 17h, Mathieu Villeneuve dédicacera Borealium tremens au kiosque 82 des Éditions La Peuplade (Espace Dimédia).

Ils en ont parlé :

HR05.04.2018 : Nuit blanche : « Le Nord de Villeneuve est un lieu déserté, qui semble lui-même victime d’une malédiction. (…) Magnifiquement décrit, le territoire est toujours recouvert d’une fine pellicule de grisaille. À chaque page, les paysages parlent de l’absence et de l’abandon à travers les traces dérisoires que les habitants ont laissées derrière eux ; à chaque page, un décor angoissant de film d’horreur se superpose à la triste réalité de l’exode rural. (…) Œuvre immersive, prophétique et crépusculaire écrite dans une langue vibrante, [Borealium tremens est un] roman de l’anti-terroir dans lequel le travail agricole est pour ainsi dire absent. Villeneuve est un habile prosateur et sa folie bien vite nous obsède. Il nous conduit lentement vers son climax, installe progressivement son atmosphère qui gagne toujours plus en étrangeté. Comme une lente escalade de l’ivresse, le récit s’opacifie puis s’accélère, jusqu’au delirium final où la réalité n’est plus qu’un fil fragile malmené par le délire éthylique. » [David Laporte, « Le délire nordique de Mathieu Villeneuve »]

05.04.2018 : « Un superbe livre ! L’écriture est dense, humaine et surtout fragile. Des émotions comme les vagues qui frappent les rochers. » [Caroline le Gal, libraire Au vent des mots, Lorient, France]

01.03.2018 : « Une lecture ensorcelante pleine d’ancêtres et de fantômes, d’espoirs et d’échecs, de besoin de mémoire et de quête des origines. Une écriture lucide, incandescente, sauvage et hantée. Un roman où la nature et l’effroi se font alliés de la folie, où l’alcool, la cocaïne et l’incertitude souhaiteraient dessiner la plus opaque noirceur des hommes. Les hommes et leurs terres, les hommes et leurs obsessions, les hommes et la violence. (…) Ici le paysage canadien est envoûté par les croyances (amérindiennes, villageoises et paysannes), les fables aux mille visages, des hommes accablés par la saleté, la saturation, la misère et une forme de haine de son prochain. La terre ancestrale, la nature fantomatique et exigeante de cette forêt boréale donnera-t-elle un sens à la quête de notre héros ?
Cette écriture atypique sert un récit parfois noueux mais plein de promesses. Il y a une langue, un univers dans ce roman, où, le temps d’un été chacun sera livré à lui-même (démons, peurs désirs, courage, violence, souhaits et doutes).
L’écriture de Mathieu Villeneuve donne envie d’en voir plus ! Un auteur dont on attend avec impatience le prochain texte. » [Charlotte Desmousseaux, libraire à La vie devant soi, Nantes, France]

09.12.2017      Les goûters littéraires d’Émilie : « L’écriture est puissante et les pages se tournent sans qu’on s’en aperçoive. On découvre une notion de territoire autochtone inconnue pour beaucoup, avec un parti pris sur le changement des espaces. On ne sort pas indemne de cette lecture. » [Émilie Vion, « Borealium tremens, le Nord à l’état sauvage »]

02.11.2017      Littérature du Québec : « Mathieu Villeneuve entreprend un périple singulier dans Borealium tremens. (…) Dans ce roman baroque et hallucinant, [David Gagnon] se perd dans des chemins oubliés de son pays du Lac-Saint-Jean. (…) Je me suis retrouvé dans un univers familier avec Mathieu Villeneuve. (…) J’y ai entendu comme un écho au Voyage d’Ulysse qui s’aventure dans un pays mythique et réel. (…) J’ai pensé souvent aussi aux personnages de William Faulkner en m’avançant dans la fresque de Villeneuve, à ces hommes marqués par la guerre de Sécession qui ne savent que foncer à toute vitesse sur les routes du Sud des États-Unis pour surprendre la mort au premier tournant, boire jusqu’à l’hallucination. (…) Le récit part dans toutes les directions, comme si l’écriture explosait ou implosait. Comme si David devait mourir à soi pour renaître comme un certain Jésus de Nazareth. Personne ne peut l’accompagner dans cette quête qui a rendu Auguste fou. Comment effacer les erreurs, les gaucheries qui ont saccagé le pays, comment retrouver le temps d’avant la construction des grands barrages ? Il faut tout faire sauter, comme Auguste l’a imaginé, retrouver la terre sacrée d’avant, quand tous les rêves étaient possibles, quand Marie Bouchard pouvait vivre en reine. (…) J’aime ce roman qui veut échapper à toutes les balises et secouer l’imaginaire, ce texte échevelé qui témoigne peut-être du plus grand échec qui puisse frapper une nation. (…) Un roman bouleversant qui balafre le territoire, de La Doré à Alma, passant par Péribonka et Sainte-Monique et encore nombre de paroisses quasi oubliées. Un texte puissant, envoûtant. » [Yvon Paré, « Mathieu Villeneuve nous envoûte »]

31.10.2017      La Presse : « Mathieu Villeneuve a créé un Don Quichotte du terroir qui accomplit les prophéties amérindiennes. » [Mario Cloutier, « Lise Tremblay, Mathieu Villeneuve et Matthieu Simard : angoisses (sur)naturelles »]

05.10.2017      Le Devoir : « Mathieu Villeneuve, Borealium tremens. Là aussi, on est dans une aventure un peu pétée, un délire apocalypto-rural. (…) Ça devient une façon pour l’auteur de raconter le rapport au territoire, l’identité, la transmission aussi. C’est quand même très, très dense sous des apparences un peu loufoques par moments. (…) Mathieu Villeneuve va vous donner envie de partir en road trip au Lac-Saint-Jean. Vous voudrez redécouvrir le territoire avec lui. » [Fabien Deglise et Émilie Perreault, « Dix incontournables de la rentrée littéraire »]

16.09.17 Le Devoir : « Une épidémie de tiques, des orignaux devenus fous, de vieilles légendes qui s’incarnent, la persistance de tares familiales, des bouts des Relations des Jésuites : Borealium tremens mêle avec habileté passé fantasmé et présent tordu de cette région du monde. Il y plante aussi quelques personnages fascinants, comme un notaire centenaire ou cette Marie Bouchard, vieille Métisse « née du viol d’une nymphe autochtone par les dieux d’un Olympe de bois, de pulpe et d’aluminium ». Sous le regard sans concession de Mathieu Villeneuve, (…) les plus mauvais gènes trouvent à s’exprimer, et même le paysage est souffrant. « La tourbière est une bête préhistorique endormie qui agonise depuis des millénaires. » Cicatrices, traumatismes, tares ancestrales, failles profondes, héritages embarrassants : pour les hommes comme pour le paysage, le présent prend des airs d’apocalypse. « Chaque rang porte sa masse d’accidents niaiseux, de malheurs enfouis, de caves jamais cimentées et de greniers qu’on ne visite plus, même plus pour chasser les souvenirs, parce qu’on ne sait plus quoi se rappeler et qu’il n’y a plus personne pour le faire. » Tel un condamné qui creuse sa propre tombe, David (vite surnommé le « Fou de la Péribonka » dans la région) va connaître une lente descente aux enfers nourrie par la folie, la vodka artisanale, sa propre histoire familiale, les prophéties de l’ancien monde et les hallucinations. Tandis que le lecteur, pris de fascination horrifiée, essaie de percer à jour le jeu des illusions auquel le convie l’auteur de Borealium tremens.
Aux commandes de cette fable sombre et à demi-apocalyptique, (…) l’écriture possède un souffle quasi lyrique. [Christian Desmeules — « La fable sombre de Mathieu Villeneuve » — Borealium tremens ***1/2]

25.08.17 Le Droit : « Son écriture se gorge tantôt de l’alcool consommé par ses personnages ; tantôt des déluges ayant marqué, voire façonné l’histoire de sa région natale, dont celui de 1996 ; tantôt du sang prélevé par des tiques proliférant au point de rendre les orignaux fous ; tantôt des relents des déversements de l’Alcan. Elle goûte la vase des lits de rivières où dorment les vestiges des villages submergés à cause des barrages d’Hydro-Québec ; la poussière levée par les véhicules dans les rangs de Sainte-Monique, près d’Alma (rebaptisé Saint-Christophe pour les besoins de sa cause) ; le terreau des champs mêlé à la sueur des fronts de celles et ceux qui les défrichent. Elle farfouille l’âme de ses personnages, déclenche leurs cauchemars, joue de leurs rêves et pulsions. Entre carré amoureux, pulsions de vengeance, quête dévorante et délires éthyliques. » [Valérie Lessard — « Les travers de la péri-urbanité »]

 

Borealium tremens, de Mathieu VilleneuvePour lire un extrait, cliquez ici.

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