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Agence Littéraire Laëns

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Agence Littéraire Laëns

Archives de mot-clé : écrivain

Stimulez votre créativité

24 vendredi Oct 2014

Posted by Agence Littéraire Laëns in Actualités, Auteur publié, Conseils, Deuxième roman, Devenir écrivain

≈ 3 commentaires

Mots-clés

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Pour éviter le syndrome de la page blanche, une seule solution : stimuler sa créativité. Voici une infographie qui rappelle les conditions préalables pour que l’intellect s’ouvre à l’imagination et à la création.

stimulez votre créativité-

Si certaines « conditions » se répètent, c’est parce qu’elles interviennent à différents stades de l’écriture. D’autres semblent se contredire : « maîtrisez les règles » et « brisez les règles ». Mais il n’en est rien. Il faut maîtriser les règles pour être capable de s’en affranchir. C’est là où le talent rejoint l’expérience.

Et n’oubliez pas : votre créativité s’accomplit uniquement si vous menez votre projet à son terme.

©Agence Littéraire Laëns 2014

Écrire à plus de cinquante ans

14 mercredi Août 2013

Posted by Agence Littéraire Laëns in Conseils, Devenir écrivain

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Mots-clés

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Stéphane HesselSi vous êtes un primo-romancier d’un certain âge, il peut être déprimant d’entendre parler de nouveaux écrivains qui ne sont pas encore assez vieux pour voter. Publier un premier roman devient-il plus difficile au fur et à mesure que vous vieillissez ? La réponse est oui. Mais vous pouvez augmenter vos chances d’être publié en évitant cinq erreurs majeures.

1-     Oublier que l’édition est une entreprise

Écrire est un métier, comme les autres : il nécessite du temps et de la formation pour se perfectionner. Les professionnels de l’édition comptent sur les livres de gens comme vous pour payer leur hypothèque et envoyer leurs enfants à l’université. Si vous n’êtes pas prêt à aborder l’écriture comme une carrière, l’édition traditionnelle pourrait ne pas être pour vous.

2-      Faire référence à la retraite comme première motivation

Vous avez distillé votre expérience de vie considérable dans un livre qui saura toucher son public. Mais vous n’avez pas décidé d’écrire un livre parce que vous ne saviez plus quoi faire de vos mains, et que vous aviez enfin du temps pour vous. (Vous seriez surpris de voir combien de lettres de présentation mettent cette « motivation » de l’avant).

3-      Croire que votre livre se vendra sans vous

Quand votre éditeur s’engage à verser un à-valoir pour votre livre, il s’attend à ce que vous soyez un partenaire actif dans la promotion. Un roman, quelques soient ses qualités, ne rencontrera pas son public si l’auteur ne participe pas à sa promotion. Soyez prêt !

4-      Avoir pour ambition avouée de publier UN livre

Si c’est le cas, il se peut que l’auto-publication vous convienne mieux. La plupart des maisons d’édition s’attendent à ce qu’un auteur publie un roman chaque année ou aux deux ans afin de construire sa réputation, et c’est souvent au quatrième ou au cinquième livre qu’un romancier voit ses ventes augmenter de manière significative. (Il pleuvait des oiseaux, par exemple, était le quatrième roman publié de Jocelyne Saucier. Et elle avait 63 ans à ce moment.) À vous de convaincre l’agent ou l’éditeur que vous n’êtes pas l’auteur d’un seul livre.

5-      Se dater soi-même

L’édition est une entreprise de médias. Les éditeurs ont l’intention de trouver la nouvelle étoile montante. Il n’y a absolument rien qui vous empêche, en tant qu’écrivain plus âgé, d’arriver avec quelque chose de nouveau et d’excitant, mais le préjugé selon lequel les personnes d’un certain âge sont moins susceptibles de le faire persiste. Revendiquer votre âge n’est pas un atout. Si vous écrivez un thriller politique, ne mentionnez pas votre service dans l’administration Duplessis ou celle de De Gaulle.

___________________________________________

Il n’y a aucun doute : les auteurs matures peuvent percer. Au Québec, que dire du succès de Jeanette Bertrand dont la première œuvre littéraire a été publiée à cinquante-huit ans, de Gilbert Boulanger dont L’alouette affolée a séduit un éditeur à quatre-vingt huit ans ? Et en France, vous vous souvenez de Stéphane Hessel et de son opuscule, Indignez-vous ! Il avait publié son premier livre à soixante-dix-sept ans.

© Agence Littéraire Laëns 2013

Finir son roman en 4 étapes

31 mercredi Juil 2013

Posted by Agence Littéraire Laëns in Auteur publié, Conseils

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Mots-clés

action, agence littéraire, agence littéraire laëns, agent littéraire Québec, Anna Karénine, écrivain, chapitres, coaching d'écriture, commencer les chapitres, correction de manuscrits, correction de manuscrits Québec, descriptions, dialogue, grammaire, histoire, intrigue, Léon Tolstoï, lecteur, littéraire, méthodes, orthographe, ouvertures de chapitre, personnage, premier jet, révision, romanciers, rythme, scène, situation dramatique, unité d'action

bonhomme dans roueLes romanciers sont les coureurs de fond du monde littéraire. Il n’y a pas de sprint à travers un roman, du moins pas pour le romancier ; il y a tout simplement trop de personnages, trop de scènes, trop de lignes de l’histoire et des pages et des phrases à écrire et puis réécrites, révisées et peaufinées. L’endurance est essentielle pour achever la tâche. Pourtant, l’endurance n’est pas suffisante, loin de là. Parce que la lecture du roman est aussi une expérience de marathon, l’objectif principal de votre processus de révision devrait être de prendre soin de créer un rythme humain pour le lecteur, un rythme qui se précipite en alternant les avancées dans l’intrigue et les pauses selon le récit et les besoins du lecteur.
En tant que romancier, vous devez établir des stratégies concrètes pour vous soutenir dans ce travail de longue haleine et transformer votre premier jet en un écrit à toute épreuve. Voici quatre règles que vous pouvez utiliser pour vous assurer que vos lecteurs ne s’endorment pas, ne s’essoufflent ou tout simplement n’abandonnent pas avant d’avoir fini le dernier chapitre de votre chef-d’œuvre.

1. Écrire le tout premier jet rapidement.
Cette première règle consiste à résister à la tentation de réviser lorsque vous écrivez. C’est un exercice particulièrement difficile, en grande partie parce que cela signifie que vous devez vous pardonner pour écrire des textes horribles. Il n’y a pas moyen de contourner cela. La rapidité implique une orthographe bâclée, une syntaxe approximative, des fautes de grammaire. Tout dommage subi par votre ego d’écrivain, cependant, se consolera devant les avantages ainsi obtenus.

La vérité, c’est qu’un projet écrit rapidement produit un récit à la trajectoire propre. Pensez-y comme à une esquisse. Vos personnages peuvent rester à peine ébauchés à ce stade et vos intrigues secondaires inexplorées, mais en travaillant vite vous avez peu de choix, vous tracez  la ligne de base de l’histoire. En conséquence, vous vous gardez des pistes alléchantes et des tangentes séduisantes qui peuvent faire échouer l’avancée de vos travaux. (Vous pouvez y revenir plus tard, lorsque votre tâche sera de corser l’intrigue et d’épaissir vos personnages, etc…)

Voici le point: une fois le premier jet achevé, vous aurez une bien meilleure idée de la structure de votre roman. Et vous n’aurez pas perdu votre temps dans l’écriture, la révision et l’affinage de scènes inutiles que vous auriez dû couper par la suite.

À quoi correspond cette vitesse rapide, vous demandez-vous? Cela dépend de l’écrivain. Si vous vous consacrez à l’écriture directe, sans ce regard critique que vous devez appliquer à la réécriture, vous serez étonné de voir en combien de temps, le projet sera terminé. Là, il sera temps de passer à la réécriture, en commençant par l’élément qui soutiendra vos lecteurs tout au long de leur propre marathon: l’action.

Open book2. Évaluer la fonction DRAMATIQUE DE CHAQUE SCÈNE OU UNITÉ D’ACTION.
Les lecteurs peuvent dire si un passage ne parvient pas à faire avancer l’histoire. Si c’est le cas, ils commencent à râler, ou pire, ils abandonnent le livre. Par conséquent, la meilleure façon de commencer la révision est de commencer à relire votre premier jet et de vous poser cette question essentielle à l’ouverture de chaque chapitre ou de la scène: Qu’est-ce qui se passe exactement ici, et comment cela surprend-t-il mon personnage ou comment cela offre-t-il une nouvelle perception au lecteur? Assurez-vous que chaque incident dramatique, quel qu’il soit, un combat, une conversation ou simplement un moment de silence apporte quelque chose à l’histoire. Lorsque vous trouvez des scènes pour lesquelles ce n’est pas le cas, vous avez  les premières cibles de votre révision.
Les scènes n’ont pas à être très dramatiques pour être efficaces. Pourtant, il est important que vous les examiniez une par une, et que vous soyez satisfait quand chacune approfondit l’intérêt de vos lecteurs pour l’histoire et les incite à tourner la page.

A défaut de ce test, les scènes doivent être coupées ou retravaillées jusqu’à ce qu’elles passent le test.

3. IDENTIFIER les accalmies dans l’ACTION pour insérer de MINI-SCÈNES.
Au fur et à mesure que le roman avance, alternent les modes de scène et de synthèse. Les scènes, bien sûr, dépeignent des moments de décision et de grande émotion, des moments-charnières qui exigent une mise en scène spectaculaire complète, avec des descriptions, un dialogue, de l’action. Mais périodiquement, les accalmies entre les épisodes dramatiques doivent permettre aux histoires des personnages et à la complexité des relations d’être pris en compte. Les résumés et les exposés sont un mal nécessaire. (Ah ! ces passages denses, sans espace blanc pour reposer l’oeil!)
Une façon d’aider votre lecteur à persévérer dans des phases où le rythme ralentit un peu est de relever les passages avec un peu d’action, avec des mini-scènes.
Soyez sur le qui-vive dans votre propre travail et plus particulièrement pour les longs paragraphes qui constituent la trame de fond, la description physique et l’analyse du personnage. Les informations contenues dans ces passages peuvent être nécessaires, mais si vous ne saupoudrez pas le tout de mémorables et pittoresques éléments, de bribes de dialogue, etc…  vos lecteurs pourraient perdre patience.

bonhomme chemin4. VARIEZ les méthodes pour commencer vos chapitres.
Les fins de chapitre et autres pauses permettent aux lecteurs de reprendre leur souffle, réfléchir à ce qu’ils ont lu et anticiper ce qui pourrait arriver. Au moment de la révision, ne manquez pas l’occasion de tous les examiner et assurez-vous que vous offrez une variété de coups d’envoi de nature à piquer la curiosité de vos lecteurs. Parfois, vous aurez envie de leur donner ce qu’ils attendent, mais un bon romancier se tient à la frontière entre conforter ses lecteurs et les rendre fous, alors que d’autres fois il est préférable de les effrayer.

La méthode la plus courante pour commencer un chapitre est de prendre le lecteur par la main, et délicatement le guider dans la section suivante de l’histoire en positionnant un personnage dans le temps, ce qui crée instantanément une situation dramatique. Cette stratégie n’a rien d’extraordinaire, mais elle a fait ses preuves.

Une autre méthode esquisse une période de temps, ce qui permet de placer les évènements dans leur contexte en évoquant l’atmosphère et le personnage principal. Utilisez cette stratégie lorsque votre roman appelle à un moment de réflexion ; cela nécessite une trame de fond ou éventuellement de faire un saut chronologique.
D’autres fois, à la suite de chapitres qui se évoluent à un rythme tranquille, vous ressentirez le besoin de faire bouger les choses, de mélanger un peu les lecteurs. En d’autres termes, augmentez la vitesse d’un cran ou deux.
Enfin, une manière intelligente d’ouvrir un chapitre est d’offrir une observation lapidaire qui influe directement sur le déroulement des événements.
Par exemple ce joyau de Léon Tolstoï, à l’ouverture d’Anna Karénine:
« Les familles heureuses se ressemblent toutes; chaque famille malheureuse est malheureuse à sa manière ».

N’oubliez pas que chaque nouveau chapitre offre la possibilité de réintroduire votre histoire et de réorienter vos lecteurs dans le monde de votre roman. Donc, lorsque vous en êtes à l’étape de la révision, soyez stratégique avec vos ouvertures de chapitre. Parce que vous vous serez donné à nouveau la chance d’accrocher encore et encore vos lecteurs, vos efforts vous permettront de ne pas compter sur leur complaisance.
S’agit-il de stratégies que vous pourriez employer pendant que vous écrivez le premier jet? Je ne le pense pas. Ce n’est que lorsque vous pourrez prendre du recul et regarder ce projet comme un tout cohérent que vous serez en mesure d’appliquer ces règles de manière efficace et donner à votre manuscrit la révision nécessaire.
Rédiger et réviser un roman implique un travail acharné, des fois des mois ou des années, autant de raisons de garder les besoins de vos lecteurs en tête lorsque vous travaillez.

Être et savoir-être

31 mercredi Juil 2013

Posted by Agence Littéraire Laëns in Auteur publié, Conseils, Deuxième roman, Devenir écrivain

≈ 2 commentaires

Mots-clés

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to beLa plupart des experts s’accordent à dire que quand il s’agit de l’écriture de fiction, aucune règle n’est coulée dans le béton. Certaines directives cependant sont si évidentes que rares sont les écrivains qui se risqueraient à les contester. Respectez celles-ci.

 

1. Aimez le processus d’écriture

Si vous voulez devenir un écrivain professionnel, vous feriez mieux d’adorer le processus d’écriture. Cela ne veut pas dire que vous n’aurez pas de doutes, ni de craintes. Cela signifie que, malgré ces hésitations, vous allez tout de même vous asseoir et écrire. Si écrire est douloureux pour vous, pourquoi persister ?

2. Lisez beaucoup

« Tout écrivain est d’abord un lecteur. C’est parce qu’il a tant aimé lire qu’il a voulu écrire et c’est d’abord pour lire qu’on écrit. On écrit le livre qu’on aimerait bien lire mais qu’on ne trouve pas. […] Ne jamais oublier que le cœur de l’affaire c’est le plaisir. » — Dany Laferrière

Si vous ne lisez pas, pourquoi voulez-vous écrire ? Les meilleurs écrivains ne limitent pas leurs lectures à un seul genre. Les artistes ont besoin de découvrir le travail d’autres artistes, dont ils peuvent apprendre quelque chose, voire s’inspirer.

3. Persévérez

La principale différence entre les auteurs à succès et les écrivains en herbe n’est pas le talent, c’est la persévérance. Ils terminent ce qu’ils ont commencé. Créez un calendrier d’écriture qui fonctionne pour vous et respectez-le.

4. Soyez critique avec votre travail

Nombre d’écrivains vivent avec l’espoir qu’un jour ils vont lire ce qu’ils ont écrit et ne pas vouloir le déchirer. La mauvaise nouvelle, c’est qu’au fur et à mesure que vous vous améliorez, vous devenez plus critique par rapport à votre travail. Plus vous en savez, moins vous pouvez tolérer la mauvaise écriture (la vôtre ou celle des autres). La bonne nouvelle, c’est que votre capacité critique va vous aider à vous améliorer. Vous allez apprendre à rejeter le prévisible, à tonifier le style, la structure et vos personnages.

5. Agissez en professionnel

Chaque fois que vous traitez avec d’autres professionnels, comme les agents et les éditeurs, vous devez agir de la même façon que pour un entretien d’embauche, et présenter une attitude professionnelle. Ceci est particulièrement important dans les lettres de présentation et la préparation du manuscrit.

Tout d’abord, relisez votre texte pour vérifier la grammaire, la ponctuation et l’orthographe. C’est un minimum. Relisez-le encore. Êtes-vous certain que le début est accrocheur ? Combien de fois me dit-on « Mais vous allez voir. Cela s’améliore au fil du roman » ? Dans ce cas, si vous savez que votre début n’est pas à la hauteur, pourquoi ne le modifiez-vous pas avant de le présenter ? Après des mois de travail acharné à écrire et perfectionner votre roman, ce serait dommage qu’il soit rejeté parce que vous n’avez pas pris la peine de retravailler le début. Non ?

Deuxièmement, utilisez le bon format. Évitez les polices de fantaisie. Utilisez des marges normales. Vous trouverez la fonction « marges normales » dans le volet « mise en page » de Word. Ne concevez pas votre propre couverture. Paginez correctement votre manuscrit.

Une lettre d’accompagnement, ça se travaille. Elle inclut un bref résumé de votre manuscrit (un à trois paragraphes) et quelque chose sur vous qui est en rapport avec votre écrit. Évitez de vous vanter : «Cela va rapporter des millions de dollars» ou «Le monde n’a jamais vu un roman comme ça avant ». C’est rédhibitoire.

Suivez les consignes données par les éditeurs et les agents sur leurs sites Internet. Certains souhaitent recevoir les manuscrits par la poste, d’autres par courriel. Parmi les premiers, il y a des adeptes du manuscrit relié et d’autres qui ne veulent aucune reliure. On vous demande un synopsis ? Faites un synopsis. On vous demande une fiche biographique ? Envoyez une fiche biographique.

  ___________________________________________

Même si vous suivez ces consignes, il se peut que votre manuscrit soit refusé. L’histoire de la littérature regorge d’exemples d’écrivains connus qui ont vu certains de leurs écrits rejetés par un agent, un éditeur, voire plusieurs. Et si le même manuscrit ne cesse d’être rejeté pour la même raison, retravaillez-le avec un professionnel si nécessaire. Lire à ce sujet : Les fameuses lettres de refus.

©Agence Littéraire Laëns 2013

Site de l’agence

Services

L’Agence Littéraire Laëns offre plusieurs services aux écrivains et à ceux qui veulent le devenir: le diagnostic littéraire, la correction de manuscrit, la direction littéraire, l’aide en vue d’une publication, la négociation de contrat et la promotion.

Avec l’Agence Littéraire Laëns, vous trouverez une oreille pour vous écouter et des conseils qui feront LA différence.

Pour en savoir davantage sur nos services, cliquez sur l'image du livre interactif.

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